Image d’illustration © Buzzday
Le Refus Radical De La Chimiothérapie Classique
Ce scandale annoncé prend forme quand Francis Lalanne dévoile sa stratégie. Face aux médecins qui lui proposent la chimiothérapie, l’artiste oppose un « non » catégorique. Pas question de subir les protocoles conventionnels. Sa décision est tranchée, assumée, radicale.
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Les raisons de ce refus ? Lalanne les énumère froidement. Vomissements à répétition, chute totale des cheveux, fatigue extrême qui cloue au lit : « Je voulais éviter tout ça à tout prix », confie-t-il. L’image de ces effets secondaires le révulse plus que la maladie elle-même.
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C’est donc vers « une méthode alternative » qu’il se tourne. Un traitement qu’il décrit comme « non autorisé en France », mais dont il refuse obstinément de révéler la nature. Cette discrétion calculée en dit long : l’artiste sait qu’il navigue en eaux troubles, loin des recommandations médicales officielles.
« Une approche non agressive », précise-t-il simplement. Derrière cette formule floue se cache une démarche qui va à contre-courant de la médecine traditionnelle. Lalanne, fidèle à lui-même, choisit encore une fois la marge plutôt que le système. Mais cette fois, l’enjeu n’est plus artistique ou politique : c’est sa vie qui était en jeu.
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Cette révélation fracassante relance immédiatement un débat brûlant sur les médecines alternatives et leurs limites.
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