Image d’illustration © Buzzday
Les Antécédents : Déjà Vu En 2016
Cette stratégie du faux départ, Gims ne l’invente pas. Le rappeur récidive avec une précision troublante. Novembre 2016, même scénario, même timing. Donald Trump vient d’être élu président des États-Unis, et l’artiste congolais ressort exactement la même carte.
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« Je vous annonce que j’arrête officiellement la musique », écrit-il déjà à l’époque sur Instagram. La photo accompagnant le message ? Le nouveau président américain en personne. Le parallèle est saisissant. Gims semble avoir trouvé dans les élections américaines son moment privilégié pour créer le buzz.
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Les fans vivent alors la même montagne russe émotionnelle. Panique, incompréhension, théories conspirationnistes. L’hypothèse du piratage circule déjà massivement sur les réseaux. Face à l’ampleur de la confusion, l’entourage de l’artiste se voit contraint de réagir rapidement.
Le démenti arrive sous la forme laconique d’un tweet : « Twitter piraté, aucune prise de position ». Une explication qui laisse planer le doute mais apaise temporairement les esprits. Déjà, la machine à buzz fonctionnait à plein régime.
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Cette répétition révèle un schéma bien rodé. Gims a identifié une formule gagnante et n’hésite pas à la réutiliser quand l’actualité s’y prête. Entre les deux épisodes, une constante : l’efficacité médiatique reste intacte. Mais derrière ces coups d’éclat calculés, de véritables projets musicaux se préparent dans l’ombre.
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