Il agresse sa propre tante dans la rue avec un masque de Scream : « C’était une blague… »

L’Agression Nocturne Qui Tourne Au Cauchemar Familial

Le 4 juillet, quelques minutes avant minuit, les rues de Roubaix plongent dans une violence qui dépasse l’entendement. Deux silhouettes masquées surgissent de l’obscurité et se jettent sur une femme âgée qui rentre tranquillement chez elle.

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La scène a des allures de film d’horreur. L’un des agresseurs porte un masque de Scream, cette effigie terrifiante popularisée par le cinéma. Son complice et lui fondent sur leur victime avec une brutalité calculée : clé d’étranglement pour immobiliser, tentative d’arrachage du sac et des bijoux. La coordination de l’attaque révèle une préméditation glaçante.

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La femme âgée s’effondre au sol sous la violence de l’assaut. Ses cris de détresse percent le silence nocturne et alertent providentiellement un groupe de jeunes qui se trouvait dans les parages. Cette intervention change brutalement la donne : l’un des agresseurs prend immédiatement la fuite, abandonnant son complice.

Le porteur du masque de Scream, lui, n’échappera pas aux témoins indignés. Tabassé par les jeunes venus au secours de la victime, il attend l’arrivée des forces de l’ordre dans un état pitoyable.

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Mais c’est lors de son interpellation que cette agression bascule dans une tout autre dimension. Les policiers découvrent rapidement que l’agresseur masqué n’est autre que le neveu de sa victime. Un cutter sera également retrouvé lors de sa fouille.