
« Une Blague » Qui Ne Fait Rire Personne : La Défense Surréaliste
La réponse d’Adrien laisse tout le monde pantois. Face aux enquêteurs, le jeune homme dégaine une explication qui défie l’entendement : il voulait simplement faire « une blague » à sa tante. Comme si agresser une femme âgée avec un masque de tueur pouvait relever de l’humour familial.
• annonce •
« On ne voulait pas lui faire peur », affirme-t-il avec un aplomb déconcertant. Cette déclaration sonne comme une plaisanterie de mauvais goût face aux faits établis : clé d’étranglement, tentative de vol, chute de la victime et cris de détresse qui ont alerté tout le quartier.
• annonce •
Adrien pousse l’art de la minimisation à son paroxysme. Il prétend avoir « à peine touché » sa tante et conteste même sa chute au sol. Selon lui, elle se serait simplement « assise par terre ». Une version des faits qui contraste violemment avec la réalité de l’agression filmée par les caméras de vidéosurveillance.
Cette défense surréaliste révèle soit une déconnexion totale avec la gravité de ses actes, soit une stratégie désespérée pour échapper aux poursuites. Comment expliquer qu’un cutter accompagne une simple « blague » ? Comment justifier qu’une plaisanterie nécessite un déguisement de tueur et une agression en pleine rue ?
• annonce •
L’absurdité de cette justification ne fait qu’aggraver le cas d’Adrien aux yeux de la justice.