Traque Intensive : Un Mois Et Demi De Recherches Dans Le Sud De La France
Ces 45 jours de liberté volée transforment immédiatement l’évasion en priorité absolue pour les forces de l’ordre. Le parquet confie l’enquête à la brigade de recherches de Villefranche-de-Lauragais, spécialisée dans la traque des fugitifs les plus insaisissables.
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L’alerte se propage instantanément dans toutes les casernes du sud de la France. Une mobilisation sans précédent s’organise, coordonnée par les enquêteurs lauragais. Chaque gendarmerie reçoit le signalement détaillé du mineur, transformant le territoire en vaste filet de surveillance.
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Cette stratégie de coordination régionale porte rapidement ses fruits. Les investigations révèlent que le fugitif a bénéficié d’un réseau de complicité organisé, lui permettant de franchir les frontières départementales avec une redoutable efficacité.
La piste mène finalement vers l’Hérault, où les gendarmes localisent sa cachette dans un environnement particulièrement discret : un camp de gens du voyage à Saint-Jean-de-Védas. Un refuge choisi stratégiquement, loin des circuits de surveillance habituels.
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L’interpellation se déroule entre le 17 et le 18 juillet, sans violence ni résistance. Après un mois et demi de cavale, la traque s’achève dans ce camp de l’Hérault où le mineur pensait pouvoir échapper définitivement à la justice.
Les victimes des agressions du Canal du Midi peuvent enfin souffler : leur agresseur présumé ne court plus les rues toulousaines.
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