Infirmière retrouvée sans vie : sa fille de 10 ans alerte les secours avec ces mots glaçants : Elle s’est fait…

Une enfant de 10 ans découvre l’impensable. Le 13 mars 2023, un cri fracassant résonne dans une résidence paisible de Maurepas. Martine, voisine témoin, livre son récit glaçant au Parisien. Alors que les enquêteurs se penchent sur cette tragédie familiale, une phrase prononcée par la fille de la victime laisse présager l’indicible. Ce que révèlent les premiers éléments de l’enquête…

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Une famille confrontée à l’horreur

Le 13 mars 2023 bascule dans le drame à Maurepas. Dans un appartement de l’avenue du Béarn, un mari et sa fille de 10 ans font une découverte insoutenable : le corps sans vie d’une infirmière de 42 ans. Les lieux paisiblement bourgeois des Yvelines deviennent le théâtre d’une enquête policière.

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Les secours interviennent en quelques minutes après l’appel paniqué des proches. « C’est une histoire qui fait froid dans le dos », résume l’article source, soulignant le choc subi par la famille. Aucun détail n’est encore divulgué sur les circonstances exactes du drame, mais la présence de l’enfant sur les lieux ajoute une dimension poignante à ce fait divers.

Une réaction rapide face au drame

L’alerte est donnée dans la minute suivant la macabre découverte. Mari et fille appellent simultanément police et pompiers, qui se présentent avenue du Béarn « en quelques minutes seulement ». La résidence de Maurepas, commune habituellement calme des Yvelines, se retrouve encerclée par les gyrophares.

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Le même jour, une habitante de l’immeuble rapporte avoir entendu un cri assourdissant depuis son balcon. L’enquête devra déterminer si ce détail troublant est lié à la tragédie. Pour l’heure, les autorités gardent secrètes les premières constatations des équipes sur place.

Un cri dans le silence d’une journée ordinaire

Alors qu’elle télétravaille ce 13 mars, Martine (prénom modifié) vit un moment glaçant. Depuis son balcon, la voisine perçoit « un grand cri » suivi d’un silence inquiétant. « Je ne me suis pas inquiétée », confie-t-elle au Parisien, ignorant alors la tragédie en cours à quelques mètres de chez elle.

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Ce témoignage clé émerge deux semaines après les faits. La quadragénaire décrit un bruit « assourdissant » dont l’origine reste mystérieuse. Un élément troublant que les enquêteurs croisent avec l’heure estimée du drame. « Je ne cesse de ressasser cette histoire de cri », avoue aujourd’hui la témoin, hantée par ce qu’elle a involontairement entendu.

Une énigme aux réponses suspendues

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Le mystère plane toujours sur l’origine exacte du cri signalé par la voisine. Les enquêteurs peinent à relier ce témoignage aux éléments matériels de l’affaire. « Je ne cesse de ressasser cette histoire de cri », insiste Martine, dont le récit constitue actuellement le seul indice sonore.

Aucune information officielle ne filtre sur les causes du décès ou d’éventuelles violences. Les proches de la victime, sous le choc, restent injoignables. L’enquête se poursuit discrètement dans cette résidence des Yvelines où chaque habitant tente désormais de retrouver un semblant de normalité.