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Institutrice le jour, star d’OnlyFans la nuit : suspendue, elle défie son école catholique « Je ne recule pas… »

Julie K.
7 Min de lecture

« Je ne recule pas » : le cri de révolte d’Elena face à la tempête

« Je ne recule pas. Je suis adulte et consciente de ce que je fais avec mon corps », clame Elena Maraga, face aux critiques. Alors que l’école menace de la licencier, l’institutrice refuse de quitter son poste : « Je ne serai jamais la première à abandonner ». Elle assume même son choix de privilégier OnlyFans si nécessaire : « Je suis prête à continuer sur la plateforme à plein temps ».

Contre toute attente, une partie des parents d’élèves la soutient, saluant son honnêteté. Mais dans sa famille, on la traite de « honte », un rejet qui la blesse. « Les préjugés et la bigoterie doivent disparaître », plaide-t-elle, pointant du doigt une société italienne tiraillée entre modernité et conservatisme. En toile de fond, le ministère de l’Éducation durcit son code de conduite, visant explicitement les enseignants actifs sur les réseaux.

OnlyFans vs éducation : le cas Elena Maraga enflamme l’Italie

Le ministère italien de l’Éducation modifie en urgence son code de conduite national, ajoutant une section sur « l’usage des réseaux sociaux par les enseignants ». Une décision qui vise directement des cas comme celui d’Elena, désormais citée en exemple – ou en repoussoir – dans les médias. 20 Minutes révèle que certains parents la défendent, estimant que « sa vie privée ne regarde qu’elle », quand d’autres exigent son renvoi pour « immoralité ».

En Italie, l’affaire relance le débat sur la liberté individuelle face aux normes religieuses. Faut-il contrôler la vie en ligne des fonctionnaires ? Elena, elle, assume : « Montrer son corps n’est pas un crime ». Pendant que le gouvernement durcit les règles, la jeune femme prépare son possible bascul vers OnlyFans, où elle gagnerait davantage. Son histoire, loin d’être réglée, illustre un conflit entre tradition et modernité.