Le 1er mai soulève une interrogation inattendue : quels commerces peuvent réellement ouvrir ce jour férié ? Alors que les boulangers et fleuristes se voient interdire l’ouverture, d’autres établissements bénéficient d’une tolérance légale. Ce que révèle cette situation met en lumière un flou juridique et des enjeux économiques importants. Pourquoi cet élément change les pratiques commerciales, vous le découvrirez dans la suite de cet article.
Interdits de vendre du muguet le 1er mai, ces fleuristes prennent le risque : une tradition qui coûte cher
