Image d’illustration © Buzzday
Sécurité Renforcée Sur Le Littoral Touristique
Cette inquiétude des autorités locales s’est rapidement traduite par des mesures de sécurité drastiques. Un périmètre de 150 mètres autour du point de chute présumé du missile a été immédiatement interdit d’accès. Plaisanciers, baigneurs, plongeurs : personne ne peut plus s’approcher de cette zone maritime devenue zone rouge.
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La décision tombe en plein cœur de la saison estivale. Sur le littoral est de la Sardaigne, réputé pour ses eaux cristallines et ses falaises spectaculaires de l’Ogliastra, l’interdiction bouleverse les habitudes touristiques. Les plages d’Arbatax, prisées des vacanciers européens, voient désormais des bateaux de surveillance patrouiller au large.
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« La sécurité prime sur tout », martèlent les autorités sardes. Mais l’impact économique se fait déjà sentir. Les excursions en mer doivent contourner la zone interdite, les clubs de plongée reprogramment leurs sorties, les pêcheurs locaux perdent l’accès à leurs spots favoris.
Cette situation inédite transforme les vacances d’été en rappel permanent des risques militaires. Dans les ports d’Arbatax et de Tortolì, les conversations tournent autour de ce missile fantôme qui hante les fonds marins. Un engin de guerre de 2 millions d’euros qui dicte désormais le rythme de la vie balnéaire sarde.
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L’été 2025 restera marqué par cette présence invisible mais menaçante dans les eaux méditerranéennes.
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