James Gunn révèle ce qui a été censuré dans Superman : « 33 secondes coupées pour… »

Le Succès Commercial Face À La Controverse : Quand Superman Dérange L’Inde

Le nouveau Superman de James Gunn frappe fort au box-office mondial. 220 millions de dollars de recettes globales pour son premier week-end, dont 125 millions rien qu’aux États-Unis : les chiffres parlent d’eux-mêmes. David Corenswet a visiblement trouvé sa cape.

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Pourtant, derrière ce triomphe commercial se cache une polémique aussi inattendue qu’absurde. L’India’s Central Board of Film Certification (CBFC) a décidé de censurer le film, retirant 33 secondes de métrage jugées problématiques. Une durée dérisoire qui soulève pourtant des questions majeures sur les critères de censure appliqués aux productions hollywoodiennes.

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Le contraste frappe : pendant que les salles américaines et mondiales plébiscitent cette nouvelle incarnation de l’Homme d’Acier, l’Inde s’offusque de détails que beaucoup jugeraient anodins. Cette réception mitigée ne se limite d’ailleurs pas aux seuls censeurs indiens. Les critiques occidentales se montrent elles aussi divisées sur cette approche « bon enfant » de Superman, bien éloignée de l’univers sombre de Zack Snyder.

Mais que peut-il bien y avoir de si choquant dans ce film familial pour justifier une telle intervention ? La réponse risque de surprendre par sa simplicité déconcertante.

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