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« Je leur ai dit qu’ils se trompaient de chemin » : un maire barre personnellement la route avec sa voiture aux gens du voyage

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Un Phénomène Qui S’Étend : L’Exemple D’Alès Révélateur

Cette obstination des derniers occupants au Barcarès n’est pas un cas isolé. Le même jour, le 13 juillet, une scène similaire se déroulait à près de 200 kilomètres de là.

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À Saint-Hilaire-de-Brethmas, près d’Alès, une communauté de gens du voyage s’installait sans autorisation sur le terrain de football municipal. Un choix de lieu particulièrement problématique : les festivités de la fête nationale devaient s’y dérouler le lendemain.

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L’impact fut immédiat et dramatique. La mairie n’eut d’autre choix que de tout annuler : jeux aquatiques, soirée repas dansante, feu d’artifice prévu à 23 heures. Une programmation entière rayée d’un trait.

Au moins 1000 personnes attendaient ces célébrations du 14 juillet. Familles, enfants, habitants de la commune et des environs : tous privés de leur fête nationale traditionnelle. Une déception collective qui illustre l’ampleur des perturbations causées.

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Cette coïncidence troublante révèle l’étendue du phénomène. Deux installations illégales le même jour, dans deux départements différents, avec des conséquences majeures sur la vie locale. Un timing qui interroge sur la coordination de ces mouvements.

L’affaire d’Alès démontre que le Barcarès n’affronte pas une situation exceptionnelle. Ces occupations sauvages se multiplient, frappant indistinctement stations balnéaires et communes rurales. Une réalité qui dépasse largement les frontières des Pyrénées-Orientales.

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