
« Je Préservais Sa Tranquillité Plus Que Sa Sécurité » : Les Vraies Missions D’Un Garde Du Corps De Star
Ces assauts du quotidien, Patrick Roussel les a vite identifiés. Pas de menaces physiques, mais une pression constante. « Au début, ça a été les fans qui étaient très présents et très oppressants », se souvient-il. Un déferlement d’admiration qui vire parfois à l’obsession.
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Les paparazzi complètent ce tableau. Objectifs braqués, questions indiscrètes, courses-poursuites : le quotidien de Johnny se transforme en parcours d’obstacles. Pour Patrick Roussel, la mission devient claire. Protéger, oui, mais pas de la façon dont on l’imagine.
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« Je préservais sa tranquillité, en fait, plus que sa sécurité », révèle-t-il avec une franchise désarmante. Cette confession bouleverse l’image traditionnelle du garde du corps. Point de menaces mortelles ou d’attentats déjoués. La vraie bataille se joue ailleurs : préserver l’intimité d’un homme qui appartient au public.
Car contrairement aux idées reçues, Johnny ne craignait pas pour sa vie. « Je ne pense pas que quelqu’un, réellement, ait voulu lui faire du mal », affirme Patrick Roussel. Une révélation qui redéfinit totalement son rôle. Moins bodyguard que gardien de la sérénité, il devient le rempart entre Jean-Philippe Smet et l’hystérie collective.
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Cette mission délicate, menée pendant seize ans, forge une relation unique. Une expérience si marquante que Patrick Roussel a ressenti le besoin de la coucher sur papier.