Les inégalités face à la longévité
Aux États-Unis, par exemple, des recherches ont montré qu’un homme appartenant au quartile le plus pauvre de la population peut vivre jusqu’à 4,5 ans de moins s’il habite à Detroit (Michigan) plutôt qu’à New York ou Los Angeles. Ces disparités s’expliquent en partie par les différences dans les politiques locales de santé publique, comme les programmes de lutte contre le tabagisme ou l’obésité, qui sont plus fréquents dans les villes comptant une proportion plus élevée de diplômés de l’enseignement supérieur.
El secreto de Maria Branyas, la anciana de 116 años de Olot que estudian los científicos del envejecimiento https://t.co/Npc5ApiWh0 a través de @informativost5
— Super Àvia Catalana (@MariaBranyas112) October 26, 2023