Jean-Pierre Bellay contre les rumeurs : « Nous l’avons toujours soutenu »
Face aux soupçons de « père absent », Jean-Pierre Bellay réplique avec fermeté. Il décrit une organisation familiale solidaire : Diego vivait chez lui pendant son année sabbatique, consacrée à des voyages, à la musique et au lancement d’une start-up technologique. « Nous nous sommes toujours occupés de lui ensemble avec Lio », assure-t-il, dénonçant des rumeurs infondées sur leur implication parentale.
Le jeune homme préparait un projet ambitieux dans les nouvelles technologies, « pour améliorer le monde », selon les mots de son père. Une activité qui contraste avec l’image d’un fils négligé. Jean-Pierre Bellay souligne même les consultations régulières chez un médecin traitant et un psychanalyste, preuves selon lui d’un suivi « constant et attentif » malgré l’absence de diagnostic psychiatrique avant 2025.
Des adieux sous le signe de l’incompréhension : l’ultime hommage à Diego
La cérémonie du 17 mars 2025 au crématorium du Père-Lachaise réunit famille et proches dans une atmosphère de stupeur. Jean-Pierre Bellay rend hommage à un fils « créatif, brillant et passionné par l’avenir », tandis que Lio, visiblement éprouvée, évite toute déclaration publique. Les proches évoquent un jeune homme déterminé à « révolutionner le monde de la tech » tout en composant de la musique, loin des clichés sur sa santé mentale.
Le paradoxe entre cette énergie vitale et la crise psychotique finale hante l’entourage. « Il avait planifié des rencontres professionnelles la semaine suivante », confie un ami sous couvert d’anonymat. Jean-Pierre Bellay insiste : « La maladie l’a piégé, mais son vrai visage reste celui d’un battant ». L’enquête se poursuit pour démêler l’énigme d’un drame où chaque révélation soulève de nouvelles questions.
