Julien, 6 ans, est retrouvé sans vie ce 26 mars 2025 dans la commune de Saint-Féliu-d’Amont (Pyrénées-Orientales). Alors que les circonstances du drame restent floues, les enquêteurs lancent un appel crucial aux témoins pour élucider les dernières heures du jeune garçon.
Découverte tragique dans les Pyrénées-Orientales
Julien, 6 ans, est retrouvé sans vie ce 26 mars 2025 dans un secteur boisé proche de Saint-Féliu-d’Amont, à l’ouest de Perpignan. Les gendarmes des Pyrénées-Orientales, mobilisés depuis l’aube, sécurisent les lieux tandis que les enquêteurs tentent de reconstituer le fil des événements.
Les premières constatations révèlent des « éléments troublants » selon une source judiciaire, sans précision supplémentaire. Une autopsie devrait être réalisée pour déterminer les causes exactes du décès, alors que l’hypothèse d’un acte criminel n’est pas écartée.
Les premiers éléments de l’enquête
Julien, dont le corps a été découvert dans une zone boisée à proximité de Saint-Féliu-d’Amont, portait des vêtements similaires à ceux décrits lors de sa dernière sortie. Les enquêteurs examinent minutieusement les alentours, cherchant des « indices déterminants » selon les termes d’un officier de gendarmerie sur place.
Une source proche du dossier confirme que des prélèvements biologiques ont été effectués sur les lieux. Le parquet de Perpignan précise que l’autopsie, prévue dans les prochaines heures, devra notamment clarifier l’heure et les circonstances exactes du décès, alors que les rumeurs d’un possible acte violent circulent déjà.
Appel urgent des forces de l’ordre
Les gendarmes des Pyrénées-Orientales lancent un appel à témoins urgent pour retracer les dernières heures de Julien, vu pour la dernière fois le 22 mars 2025 vers 16h30 à Saint-Féliu-d’Amont. Les autorités demandent aux habitants et usagers de la zone de vérifier leurs éventuelles captations vidéo ou photos prises ce jour-là.
Une ligne téléphonique dédiée (04 68 XX XX XX) et une adresse mail sécurisée ont été ouvertes pour centraliser les informations. « Même un détail apparemment insignifiant peut faire avancer l’enquête », insiste un officier de gendarmerie joint par Buzzday.
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