Accusations Officielles : Une Chasse À L’Homme Délibérée
Cette question trouve sa réponse dans les déclarations sans équivoque des autorités ukrainiennes. Pour Kiev, il ne s’agit plus d’un « accident de guerre » mais d’un acte criminel prémédité. Les dirigeants ukrainiens parlent d’une exécution « sans pitié et délibérément » orchestrée par la Russie.
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Andriy Yermak, bras droit du président Zelensky, livre une analyse glaçante au Washington Post. Moscou transforme désormais Kherson en « zone de safari humain », dénonce-t-il. Cette métaphore brutale révèle une stratégie militaire qui dépasse les règles de la guerre conventionnelle.
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« L’opérateur a observé un enfant jouer à travers la caméra de son drone et a attaqué de sang-froid », accuse Yermak. Cette révélation bouleverse la perception du conflit. Un soldat russe aurait donc vu Dmytryk s’amuser dans le jardin familial, puis actionné délibérément les commandes de mort.
« Ce n’était pas un accident. C’était une chasse à l’homme », insiste le conseiller présidentiel. Ces mots traduisent l’indignation de Kiev face à une guerre qui franchit tous les seuils de l’acceptable.
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Les autorités ukrainiennes dessinent ainsi le portrait d’un conflit où les civils ne sont plus des victimes collatérales, mais des cibles assumées. Une escalade qui redéfinit les contours de cette guerre.
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