Koh-Lanta vit un moment historique : ce mardi 25 mars, une évacuation d’urgence inédite bouleverse La Revanche des 4 Terres. Alors que les équipes venaient d’être recomposées en rouges et jaunes, une dépression tropicale frappe les Philippines, forçant Denis Brogniart à interrompre le jeu. Entre stratégies effondrées et candidats sous le choc, comme Claire qui avoue : « C’est la pire nuit… », l’aventure bascule dans l’inconnu. Comment les survivants affronteront-ils cette double épreuve, météo et jeu ?
Une évacuation historique sous haute tension
Denis Brogniart prend une décision sans précédent : ce mardi 25 mars, les candidats de Koh-Lanta : La Revanche des 4 Terres sont évacués en urgence aux Philippines. Une dépression tropicale soudaine force la production à activer un protocole exceptionnel, interrompant les épreuves à quelques heures de la recomposition des équipes en rouges et jaunes. Les images diffusées sur les réseaux sociaux montrent un présentateur en mode crise, ordonnant le repli des tribus vers des zones sécurisées.
La situation atteint son paroxysme lorsque les vents violents et les pluies diluviennes détruisent partiellement les camps. « On a dû agir en moins de deux heures, c’était vital », confie un membre de l’équipe technique. Les aventuriers, pris de court, abandonnent affaires et stratégies. Claire, visiblement sous le choc, lance à la caméra : « Personne ne s’attendait à ça… C’est la pire nuit », tandis que Gaëlle maugrée contre les éléments déchaînés.
La recomposition des équipes à l’épreuve des éléments
L’épreuve des bambous devait marquer un tournant stratégique : ce mardi 25 mars, les meilleur·e·s candidat·e·s devaient devenir capitaines des nouvelles équipes rouges et jaunes, selon les règles dévoilées par Denis Brogniart. « Les deux tribus recomposées compteront cinq femmes et quatre hommes chacune », précise le présentateur, insistant sur l’enjeu du collier d’immunité remporté par le vainqueur. Mais la tempête frappe au moment critique, gelant les choix d’alliances et les tactiques préparées.
La production se retrouve face à un casse-tête : comment maintenir l’équité du jeu après l’évacuation ? « Les capitaines n’ont même pas eu le temps de former leurs équipes », explique une source proche du tournage. Les candidats, privés de matériel et dispersés, voient leurs plans s’effondrer. Denis Brogniart promet « des ajustements inédits pour préserver l’esprit de Koh-Lanta », sans dévoiler si l’épreuve des bambous sera rejouée. Une chose est sûre : la météo a volé la vedette aux stratèges.
Météo cauchemardesque : le typhon qui a tout changé
La dépression tropicale, classée niveau d’alerte 2 par les services météorologiques philippins, s’abat avec une violence imprévue. « Les vents atteignent 90 km/h, les rafales arrachent les toits des abris », décrypte un expert interrogé par Buzzday. L’équipe de production révèle avoir eu moins de 24 heures pour organiser l’évacuation, mobilisant hélicoptères et bateaux sécurisés malgré la mer démontée.
Les candidats endurent une nuit d’horreur : privés de sommeil, trempés jusqu’aux os, ils voient leurs réserves de nourriture emportées par les flots. « Le feu s’est éteint sous la pluie, on grelottait en groupe », raconte un aventurier sous couvert d’anonymat. Les images exclusives montrent des tentes déchirées, des hamacs envolés et Claire, hagarde, tentant de récupérer son sac de survie. Gaëlle, moins diplomate, résume : « La nature nous montre qui commande vraiment ».
