
Image d’illustration © Buzzday
La Contre-Attaque Brutale De La Maison Blanche
Taylor Rogers, porte-parole de la Maison Blanche, sort l’artillerie lourde. Sa déclaration claque comme un fouet : « Cette série n’est plus pertinente depuis plus de 20 ans et se maintient à grand-peine avec des idées sans inspiration dans une tentative désespérée d’attirer l’attention. »
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Le ton est donné. L’administration Trump qualifie South Park de « série de quatrième ordre », une insulte cinglante pour les créateurs. La riposte officielle ne laisse aucune place à la nuance. Rogers enfonce le clou avec une défense musclée du bilan présidentiel.
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« Le président Trump a tenu plus de promesses en seulement six mois que n’importe quel autre président dans l’histoire de notre pays », martèle-t-elle. La porte-parole balaie d’un revers de main toute critique : « Aucune série de quatrième ordre ne peut compromettre la série de succès du président Trump. »
Cette contre-offensive révèle l’exaspération de l’équipe présidentielle face aux attaques répétées du divertissement américain. La violence des termes employés trahit une irritation profonde. South Park devient l’ennemi à abattre, symbole d’une industrie jugée hostile.
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La bataille des mots masque pourtant des enjeux bien plus complexes. Car derrière cette polémique se cache un contrat pharaonique qui pourrait redistribuer les cartes du paysage médiatique américain.