La Maison Blanche s’emporte contre South Park : « Cette série de quatrième ordre ne peut pas… »

Image d’illustration © Buzzday

Les Pressions Qui Plient L’Industrie Du Divertissement

Cette redéfinition des règles frappe de plein fouet Hollywood. L’onde de choc se propage bien au-delà de South Park dans les couloirs des studios américains.

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Stephen Colbert en fait les frais. L’animateur du « Late Show », critique implacable de Trump depuis des années, voit son émission condamnée. CBS annonce brutalement la fin programmée de ce rendez-vous satirique qui dérangeait au plus haut niveau.

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Le message est limpide : qui s’attaque au président paie le prix fort. La chronologie ne ment pas. Début juillet, Paramount règle discrètement son contentieux judiciaire avec Trump. L’affaire portait sur une interview explosive de Kamala Harris diffusée par CBS en période électorale.

Puis vient l’estocade finale : l’annonce de l’arrêt du Late Show. Une coïncidence ? Personne n’y croit dans les milieux audiovisuels.

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« Au sein de la gauche américaine, de nombreuses voix ont dénoncé ces décisions comme des gages de soumission à Donald Trump pour pouvoir réaliser la fusion avec Skydance », rapportent les observateurs politiques.

L’industrie du divertissement plie sous la pression présidentielle. Les créateurs de contenus satiriques comprennent le message : Trump ne tolère plus la moindre moquerie.

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Cette vague de censure dessine un nouveau paysage médiatique américain. Un territoire où la liberté créatrice se heurte désormais aux intérêts économiques et aux pressions politiques d’une administration qui ne pardonne rien.