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La prophétie oubliée de Nostradamus sur le pape François qui affolait le Vatican : Par la mort d’un très vieux pontife…

Julie K.
6 Min de lecture

Une phrase énigmatique du XVIe siècle refait surface alors que le Vatican annonce le décès du pape François ce 21 avril 2025. À 88 ans, le souverain pontife laisse derrière lui une prophétie oubliée de Nostradamus qui trouble les esprits depuis des semaines. Comment des mots tracés par un apothicaire de la Renaissance ont-ils pu anticiper les inquiétudes sur la santé papale ? Et si l’histoire contemporaine s’écrivait parfois… à l’encre des devins ?

La prophétie ressurgie qui trouble le Vatican

Le Vatican annonce ce 21 avril 2025 la mort du pape François à 88 ans, après plusieurs semaines d’hospitalisation qui avaient ravivé une inquiétante prédiction. Dans l’ombre de cette disparition plane un texte énigmatique rédigé en 1555 par Nostradamus : « Par la mort d’un très vieux pontife… un Romain d’un bon âge sera élu ».

Cette citation extraite des Prophéties de l’apothicaire visionnaire connaît un regain d’attention depuis les premiers bulletins de santé alarmants. Les exégètes modernes y voient désormais une annonce voilée de l’affaiblissement progressif du souverain pontife, fragilisé par une insuffisance rénale détectée lors de ses derniers examens médicaux.

L’actualité semble donner corps aux spéculations. Alors que le pape François multipliait les apparitions publiques depuis son lit d’hôpital – jusqu’à la veille de sa mort lors de la bénédiction pascale – certains perçoivent dans ces gestes une résilience « inscrite d’avance » par les mots du célèbre astrologue. Une convergence troublante entre texte séculaire et réalité contemporaine qui agite les cercles religieux.

Un pontife face à l’épreuve médicale

Les derniers mois du pape François se révèlent marqués par un combat silencieux contre l’insuffisance rénale. Détectée lors d’examens routiniers, cette pathologie s’accompagne d’une inquiétante baisse des plaquettes sanguines, pourtant décrite comme « stable » par ses médecins. Malgré l’hospitalisation d’urgence en début d’année, le souverain pontife maintient jusqu’au bout des apparitions publiques depuis sa chambre d’hôpital.

Sa présence lors de la bénédiction pascale Ubi et Orbi, moins de 24 heures avant son décès, symbolise cette résistance acharnée. L’archevêque Rino Fisichella, qui le remplace pour célébrer la messe de l’Année Sainte, souligne : « Même dans un lit d’hôpital, nous sentons le pape François proche de nous ». Un message relayé par le Saint-Père lui-même sur les réseaux sociaux, remerciant les fidèles pour leurs milliers de messages de soutien, notamment les dessins d’enfants.

Cette période trouble contraint cependant le Vatican à des ajustements inédits. L’impossibilité d’ordonner les nouveaux diacres en personne scelle une progressive délégation des pouvoirs, tandis que les spéculations sur la succession pontificale gagnent en intensité.

Nostradamus vs Baba Vanga : fièvre prophétique

47% des jeunes Français considèrent l’astrologie comme une science selon l’Ifop, un terreau fertile pour le retour en force des prophéties anciennes. Dans ce paysage mystique, deux figures séparées par cinq siècles fascinent : Nostradamus, l’apothicaire visionnaire du XVIe siècle, et Baba Vanga, la voyante bulgare surnommée « la Nostradamus des Balkans ».

Leurs prédictions pour 2025 présentent des convergences troublantes, selon certains exégètes. La plus frappante concerne les attentats du 11 septembre 2001, que Baba Vanga aurait annoncés via une vision de « deux frères américains attaqués par des oiseurs d’acier faisant jaillir le sang des innocents ». Une formulation qui alimente les interprétations rétroactives, même si les dates originales des prophéties restent floues.

Cette résurgence s’explique par un besin intemporel de sens, combiné à la viralité des réseaux sociaux. Les publications du pape François depuis son lit d’hôpital, mêlant spiritualité et fragilité humaine, ont paradoxalement renforcé l’attrait pour ces textes énigmatiques. Un phénomène où science et croyance s’entremêlent, porté par une génération en quête de réponses transcendantes.

Quand l’histoire déjoue les prophéties

Les archives des voyants révèlent d’éclatants échecs prophétiques qui tempèrent l’enthousiasme mystique. Nostradamus avait annoncé la fin du monde pour 1999, tandis que Baba Vanga prédisait en 2023 « l’explosion d’une grande centrale nucléaire » accompagnée d’une tempête solaire apocalyptique. Aucun de ces scénarios ne s’est concrétisé.

Ce décalage entre prédictions et réalité souligne le mécanisme d’interprétation a posteriori qui anime les adeptes des prophéties. Les visions floues des devins gagnent en précision grâce au recours aux analogies historiques, comme le rapprochement contesté entre les « oiseaux d’acier » de Vanga et les avions du 11-Septembre.

Un paradoxe persiste : si certaines prédictions « semblent frapper juste » selon l’article source, d’autres restent lettre morte. Cette ambivalence invite à la prudence, rappelant que les textes énigmatiques se nourrissent davantage de nos interrogations que de vérités révélées.