La Découverte Tragique Qui Bouleverse La Classe Politique
Ce lundi 7 juillet, peu après 15 heures, les gendarmes d’Eure-et-Loir font une découverte qui va ébranler le monde politique français. Dans sa résidence d’Anet, au nord de Dreux, Olivier Marleix gît sans vie, pendu. Le député de 54 ans, ancien président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, a mis fin à ses jours dans l’intimité de son domicile familial.
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L’alerte vient de ses proches. Inquiets de ne pas avoir de nouvelles du parlementaire, ils contactent les forces de l’ordre. Parmi eux, Aliette Le Bihan, maire d’Anet, qui devait le rencontrer dans la journée. « Il avait rendez-vous avec la maire de cette commune, qui s’est inquiétée de ne pas le voir », révèlent nos confrères de _Paris Match_. Un rendez-vous qui ne se tiendra jamais.
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Cette absence inhabituelle déclenche immédiatement les recherches. Olivier Marleix, homme politique méticuleux et respectueux de ses engagements, n’avait pas pour habitude de manquer ses rendez-vous sans prévenir. L’inquiétude grandit rapidement dans l’entourage du député, familier de sa rigueur légendaire.
L’intervention des gendarmes confirme les pires craintes. La dépouille de l’élu est découverte dans des circonstances qui ne laissent place à aucun doute sur ses intentions. Une enquête est immédiatement ouverte pour établir les causes précises du décès, tandis qu’une autopsie doit être réalisée dans les prochains jours.
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La nouvelle se répand comme une traînée de poudre dans les couloirs de l’Assemblée nationale. À 54 ans, Olivier Marleix laisse derrière lui un parcours politique exemplaire et une réputation d’intégrité qui transcendait les clivages partisans. Sa disparition brutale soulève de nombreuses questions sur les pressions exercées sur nos élus et l’isolement qui peut frapper même les personnalités les plus en vue de la République.
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