L’amour triomphe souvent des obstacles, mais parfois certaines épreuves mettent à rude épreuve même les couples les plus solides. C’est le cas de Valentin et Flavie, l’un des couples emblématiques de cette 19e saison de L’amour est dans le pré, qui traverse actuellement une période particulièrement délicate.
Une semaine seulement après leur coup de foudre devant les caméras de M6, le destin a bouleversé leur idylle naissante. Flavie, jeune Bretonne de 21 ans, apprend qu’elle est atteinte d’un cancer cutané nécessitant une chimiothérapie immédiate. Une nouvelle qui aurait pu ébranler leur relation à peine commencée, mais qui a dans un premier temps renforcé leur lien.
Un soutien sans faille face à l’adversité
Face à cette épreuve inattendue, Valentin, le benjamin des agriculteurs de cette saison, n’a pas hésité une seconde. « Elle avait peur que je parte… mais j’étais prêt à rester avec Flavie », confie-t-il à Karine Le Marchand lors du bilan. Une décision qui témoigne d’une maturité remarquable pour ce jeune Manchois de 26 ans.
Le couple a choisi de poursuivre l’aventure télévisuelle malgré les traitements, une façon peut-être de normaliser cette période difficile. La production s’est d’ailleurs adaptée à leur situation, en avançant notamment les séquences de rencontre avec les proches de Flavie.
Les premiers nuages dans leur relation
Cependant, la maladie n’est pas le seul défi auquel le couple doit faire face. Une décision de Flavie concernant ses cheveux a créé des tensions jusqu’alors invisibles. Confrontée à la chute capillaire due à la chimiothérapie, la jeune femme a choisi de se raser la tête, une décision prise unilatéralement qui a profondément affecté Valentin.
La chimiothérapie et la perte des cheveux
La perte des cheveux (alopécie) est l’un des effets secondaires les plus visibles de la chimiothérapie. Elle survient généralement 2 à 3 semaines après le début du traitement et est temporaire. La repousse débute habituellement quelques semaines après la fin du traitement.
Cette situation a révélé des aspects plus complexes de leur dynamique de couple. « Elle est assez directive, on te force la main un peu et c’est un truc que je n’aime pas », confie l’agriculteur, mettant en lumière des difficultés de communication qui pourraient fragiliser leur relation.
Un avenir en construction
Aujourd’hui, Flavie a terminé son traitement et a pu reprendre son travail de vendeuse. Bien qu’elle ne soit pas encore officiellement en rémission, elle garde un moral d’acier : « Je ne suis pas encore en rémission mais en attente de résultats. Et je vais bien ! »
Les tensions au sein du couple, bien que présentes, restent contenues. Valentin avoue préférer garder le silence plutôt que d’exprimer son mécontentement, une stratégie qui pourrait s’avérer problématique sur le long terme. L’avenir de leur relation dépendra sans doute de leur capacité à surmonter ces différences de caractère tout en gérant les défis imposés par la maladie.