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Laurence Boccolini dévoile sa tumeur inopérable à l’oreille : Extrêmement rare… On ne peut rien faire — Les confidences glaçantes de son autobiographie

Julie K.
7 Min de lecture

Laurence Boccolini, figure incontournable de la télévision française, brise le silence dans son autobiographie Showtime, souvenirs du chaos. L’animatrice révèle vivre avec une tumeur non cancéreuse « extrêmement rare » localisée dans l’oreille, jugée inopérable en raison des risques de paralysie faciale. Entre ironie et résilience, elle confie : « Moi qui aime tant la radio… », évoquant les séances de radiothérapie pour contrôler la maladie. Un récit poignant où elle dévoile aussi les coulisses déchirants de l’écriture de ce livre, entre souvenirs douloureux et libération.

Le diagnostic effrayant : Laurence Boccolini révèle les détails de sa tumeur intra-tympanique

Laurence Boccolini livre un combat invisible face à un paragangliome intra-tympanique, une tumeur « extrêmement rare » nichée dans son oreille. Classée non cancéreuse mais inopérable, elle expose les risques d’une intervention chirurgicale : « On ne peut rien faire si ce n’est l’empêcher de grossir via la radiothérapie », confie-t-elle à Télé 7 Jours. La moindre erreur médicale pourrait entraîner des paralysies faciales, des troubles de la déglutition ou altérer sa voix iconique.

L’animatrice, connue pour son flegme à l’écran, subit ce traitement avec une ironie mordante : « Moi qui aime tant la radio, c’est un comble ! ». Les séances régulières visent à stabiliser la masse sans pouvoir l’éliminer. Un paradoxe pour celle qui a bâti sa carrière sur le contrôle et la précision, désormais contrainte de cohabiter avec cette épée de Damoclès biologique.

L’ironie du sort : « Moi qui aime tant la radio… »

Laurence Boccolini retourne l’absurdité de son traitement en une punchline mémorable : « Moi qui aime tant la radio, c’est un comble ! ». Derrière ce trait d’humour noir se cache une réalité implacable : les séances de radiothérapie, qu’elle subit pour contrôler la tumeur, contrastent avec sa passion pour la radio, média qu’elle a longtemps animé. Un paradoxe qui résume sa résilience face à l’épreuve.

Celui que le public connaît pour son air strict dans Money Drop ou Mot de passe dévoile une vulnérabilité inédite. L’animatrice, habituée à maîtriser chaque détail sur les plateaux, admet désormais « devoir cohabiter avec l’imprévisible ». Ce revirement éclaire d’un jour nouveau son image télévisuelle, souvent perçue comme distante, révélant une femme qui puise dans l’autodérision la force d’affronter l’incontrôlable.

Showtime, souvenirs du chaos : plongée dans les coulisses d’une autobiographie déchirante

Laurence Boccolini décrit l’écriture de son livre Showtime, souvenirs du chaos comme un « déroulé de ma vie » aux allures de thérapie brutale. Pour la première fois, l’animatrice exhume des souvenirs professionnels conflictuels et des drames personnels restés secrets, dont certains ont nécessité des pauses dans la rédaction : « Des moments douloureux en ont appelé d’autres », explique-t-elle à Télé 7 Jours.

Ce travail de mémoire, publié le 2 avril 2025 (éd. Broché, 19,90 €), n’épuise pas toute sa vérité. Boccolini précise : « Ce livre m’a fait du bien… mais ce n’est pas un bilan ». Entre les lignes resurgissent aussi des épisodes joyeux oubliés, qu’elle qualifie de « contrepoids vital » face à l’ombre portée de sa tumeur et d’autres épreuves. Un équilibre fragile entre libération et pudeur assumée.

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