La défense de Laurent Boyer : piratage et absence aux convocations
Laurent Boyer conteste fermement toutes les accusations, affirmant que son numéro de téléphone a été utilisé à son insu pour créer le faux compte Facebook. Lors de son audition en juillet 2024, il aurait évoqué une usurpation d’identité, sans fournir de preuves tangibles. Les enquêteurs restent sceptiques, soulignant que le lien technique avec sa ligne est établi de manière irréfutable.
Malgré plusieurs convocations, l’animateur n’aurait jamais répondu aux requêtes policières, obligeant le parquet de Paris à décerner un ordre à comparaître. Son ex-compagne rappelle des antécédents de « violences psychologiques » durant leur relation (2016-2017), tandis que sa défense tente de présenter ces allégations comme une campagne de déstabilisation. La stratégie juridique de Boyer, centrée sur le déni, reste fragilisée par les éléments matériels.
L’image publique de Laurent Boyer ébranlée par des accusations gravissimes
Présumé innocent jusqu’au verdict final, Laurent Boyer voit sa réputation de « papa cool » et d’animateur populaire voler en éclats. Ses récents déboires judiciaires ravivent le souvenir de ses infidélités envers Alice Dona, révélées en 2021, et ternissent son engagement dans l’association caritative Les Rois du monde. Les médias évoquent déjà des projets annulés ou suspendus en raison de la controverse.
L’issue du procès de 2026 déterminera l’avenir professionnel de l’ex-star de M6. Entre sympathie publique erodée et condamnations potentielles, l’homme de 67 ans risque de payer cher ces accusations. Ses défenseurs espèrent un rebondissement, mais les preuves techniques et psychiatriques placent la balance en défaveur de l’ancien visage de Graine de star.
