
Un Dossier Vide Qui Attire Les Manipulateurs
Cette perversion du système révèle une réalité plus profonde selon Me Martin : « C’est la conséquence d’un dossier qui est vide ». Un constat implacable qui explique l’attraction exercée sur les personnages en quête de notoriété.
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L’avocat établit un parallèle troublant : « On a eu Marco à l’époque, le codétenu, des personnages qui essaient d’attirer la lumière vers eux. » Une récurrence qui ne doit rien au hasard. Ces prétendus détenteurs d’informations prolifèrent dans les vides laissés par l’instruction.
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La qualification actuelle de meurtre sans préméditation se trouve remise en question par ces nouvelles révélations. Un problème juridique majeur que dénonce la défense : « Le juge ne peut rien, il est lié par les qualifications qui ont été retenues. »
Me Martin pointe une évidence dérangeante : « Si ce dossier était carré, tout ceci n’arriverait pas. » L’absence d’éléments probants solides crée un appel d’air pour tous les opportunistes.
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L’hyper-médiatisation amplifie le phénomène. Les jurés « sont nourris dans cette affaire » par cette surexposition médiatique. Comment garantir un procès équitable quand l’information judiciaire se transforme en feuilleton ?
Malgré ce chaos, Cédric Jubillar maintient sa position : il « continue à clamer son innocence ». Face aux manipulations présumées, la défense exige des clarifications. Le parquet doit trancher : investiguer ou classer ces révélations douteuses.
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