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Le c** de Donald Trump… : Roselyne Bachelot balance une réplique inédite sur BFMTV Tous ceux qui viennent lui…

Julie K.
6 Min de lecture

Roselyne Bachelot relance le débat diplomatique par une formule choc sur BFMTV. Ce 9 avril 2025, l’ancienne ministre marque une émission spéciale sur les mesures Trump en interrompant un éditorialiste d’une réplique tronquée devenue virale. Alors que le président américain s’apprête à rencontrer Giorgia Meloni, ses propos crus sur les négociations douanières provoquent un malaise salvateur en plateau. Comment cette phrase lapidaire a-t-elle transformé le traitement médiatique des relations internationales ?

Une sortie qui fait le buzz : Bachelot taclant Trump en direct

Le plateau de BFMTV devient le théâtre d’un échange électrique ce 9 avril 2025. Alors qu’Ulysse Gosset décrypte les « négociations à la carte » des mesures douanières de Donald Trump, Roselyne Bachelot l’interrompt sans ménagement. La mesure américaine prévoyant un tarif plancher de 10%, assorti d’augmentations pays par pays, trouve sa critique la plus crue chez l’ancienne ministre.

« Tous ceux qui viennent lui lécher le cul », assène-t-elle en direct, reprenant l’expression même du président américain. La formulation choque moins qu’elle ne fascine : les membres du plateau concèdent d’une voix unanime que « ça passe mieux quand Roselyne le dit ».

Ce moment viral s’inscrit dans une analyse plus large des relations transatlantiques. Alors que l’Union européenne prône une position commune face aux exigences trumpistes, Bachelot oppose une rhétorique sans filtre aux explications techniques de Gosset. Un contraste qui révèle les deux facettes du débat médiatique sur la géopolitique.

De la politique internationale à l’humour corrosif : la provocation assumée

La polémique prend une tournure satirique lorsque Roselyne Bachelot cible Giorgia Meloni. « Si j’étais une journaliste italienne, c’est la première question que je poserais à madame Meloni : « Quel goût a le cul de Donald ? » », lance-t-elle le 9 avril, jour même où l’annonce d’un entretien Trump-Meloni du 17 avril circule.

Perrine Storm qualifie aussitôt la sortie de « provocation », tentant de recentrer les échanges sur l’analyse politique. Mais l’ancienne ministre affiche un sourire satisfait, visiblement fière de sa formule choc. Ce mélange d’audace verbale et de diplomatie crée un malaise révélateur des codes médiatiques contemporains.

L’incident soulève une question implicite : jusqu’où peut aller l’humour politique sur un plateau d’information ? Alors que Storm tente de rétablir le sérieux du débat, Bachelot assume pleinement son rôle de trublion, transformant une analyse géopolitique en moment viral.

Bachelot vs Odoul : la chronique des passes d’armes télévisées

L’affrontement du 24 mars 2025 reste dans les mémoires. En désaccord total avec Julien Odoul sur l’antisémitisme en France, l’ancienne ministre subit une attaque personnelle : « Je le répète parce que vous êtes un peu dur de la feuille », assène le politicien. Une sortie qui déclenche sa réplique cinglante : « Qu’est-ce que c’est cette façon de me parler ? ».

Cet échange résume le style combatif de Roselyne Bachelot sur BFMTV, particulièrement dans les émissions de Perrine Storm. Les téléspectateurs retrouvent ici sa marque de fabrique : un refus catégorique de la condescendance, doublé d’une répartie éclair.

La séquence dépasse le simple clash pour révéler une stratégie médiatique assumée. Chaque intervention de l’ancienne ministre devient un exercice d’équilibre entre analyse politique et affirmation personnelle. Un mode opératoire qui transforme systématiquement les débats techniques en moments télévisuels à haut risque.

Politiques sur les planches : quand l’art dramatique influence les prises de parole

Roselyne Bachelot puise son aisance médiatique dans une expérience scénique méconnue. En 2018, elle participe à la lecture des Monologues du vagin aux côtés de Marlène Schiappa et Myriam El Khomri, un travail exigeant qu’elle décrit ainsi : « Plusieurs dizaines d’heures de travail pour chacune ».

Cette pratique n’est pas isolée dans le paysage politique. Éric Dupond-Moretti lance son one-man-show au Théâtre Marigny en 2025, tandis que Jean Lassalle se produit avec des anecdotes autobiographiques. Un phénomène qui éclaire les stratégies de communication : la scène devient laboratoire pour tester répliques et postures.

Le lien entre art dramatique et interventions télévisées apparaît limpide. Ces formations au jeu d’acteur forgent des réflexes précieux face aux caméras. Bachelot en offre la démonstration éclatante : sa maîtrise du tempo et des silences transforme chaque prise de parole en performance scénique. Une génération de politiques se forme ainsi discrètement aux techniques du spectacle vivant.