L’angoisse de ne pas savoir. Voilà ce que vivent depuis maintenant trois semaines les proches de Justine Martin, cette jeune femme de 28 ans portée disparue dans la région de Lyon. Cette affaire, qui mobilise d’importants moyens d’investigation, vient de connaître un rebondissement aussi troublant qu’inattendu avec la découverte d’indices majeurs dans un lieu qui n’avait jusqu’alors attiré l’attention de personne.
Le mystère qui entoure la disparition de cette architecte prometteuse s’épaissit chaque jour davantage. Après des recherches intensives menées par les forces de l’ordre et de nombreux bénévoles, c’est finalement dans un endroit des plus improbables que les premiers éléments tangibles ont été retrouvés, bouleversant toutes les théories initiales des enquêteurs.
Une disparition qui intrigue les enquêteurs
Les faits remontent au 17 décembre 2024. Justine Martin est vue pour la dernière fois quittant son bureau d’architecte dans le 6ème arrondissement de Lyon. Les caméras de surveillance la montrent se dirigeant vers sa voiture, garée sur le parking de l’entreprise. Son véhicule est retrouvé le lendemain matin, stationné normalement devant son domicile, mais aucune trace de la jeune femme.
Chronologie des premiers jours
– 17 décembre 2024 : Dernière apparition de Justine
– 18 décembre 2024 : Signalement de la disparition
– 19 décembre 2024 : Lancement des premières recherches
– 20 décembre 2024 : Mise en place de la cellule d’enquête
Les premières investigations se concentrent sur l’entourage proche et le parcours habituel de la jeune femme. Les enquêteurs relèvent des éléments troublants : son téléphone portable s’est éteint vers 20h45 le soir de sa disparition, et ses comptes bancaires n’ont enregistré aucun mouvement depuis.
Une découverte qui bouleverse l’enquête
C’est finalement dans les locaux d’une ancienne usine désaffectée, située à plus de 30 kilomètres de son trajet habituel, que des effets personnels appartenant à Justine ont été retrouvés. Une découverte d’autant plus surprenante que ce bâtiment n’avait aucun lien apparent avec la victime ou son entourage.
L’usine désaffectée en chiffres
– Fermée depuis 2015
– Surface de 12 000 m²
– Située dans une zone industrielle isolée
– À 32 km du dernier point de géolocalisation connu
Les enquêteurs ont mis au jour plusieurs éléments significatifs : son sac à main professionnel, des documents de travail éparpillés et, plus intrigant encore, des notes manuscrites dont le contenu n’a pas été dévoilé. La police scientifique analyse actuellement ces indices qui pourraient permettre de comprendre ce qui s’est réellement passé ce soir-là.
De nouvelles pistes à explorer
Cette découverte oriente désormais l’enquête vers des hypothèses jusqu’alors écartées. Les investigations se concentrent sur les potentiels liens entre l’activité professionnelle de Justine et ce site industriel abandonné. Les enquêteurs examinent notamment plusieurs projets de réhabilitation sur lesquels la jeune architecte aurait pu travailler.
La cellule d’enquête, renforcée depuis cette découverte, multiplie les auditions dans le milieu professionnel de la disparue. Les derniers échanges professionnels de Justine font l’objet d’une attention particulière, tandis que les experts en criminalistique poursuivent leurs analyses des traces retrouvées sur place.