
Des Aveux Glaçants Révélés À Deux Mois Du Procès
La bombe éclate dans les colonnes du Parisien. À deux mois seulement de l’ouverture du procès de Cédric Jubillar, prévu en septembre à Toulouse, sa compagne actuelle brise le silence. Ses révélations glacent le sang et bouleversent une affaire jusqu’alors construite sur des indices circumstanciels.
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Cette femme d’une trentaine d’années affirme avoir reçu des aveux précis lors d’un parloir dans la prison de Haute-Garonne où est détenu le peintre-plaquiste. Les confidences rapportées dépassent l’entendement par leur froideur clinique.
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« Il m’a dit avoir étranglé Delphine et a même imité sur moi le geste qu’il aurait fait pour la tuer », révèle-t-elle à nos confrères le 10 juillet dernier. Cédric Jubillar lui aurait confirmé avoir tué l’infirmière par strangulation dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020.
Le crime se serait déroulé dans l’intimité du foyer familial. « Tout s’était passé à l’intérieur de la maison, dans le salon, sans un bruit quasiment », précise la compagne. Une mise à mort silencieuse qui aurait eu lieu sous le toit conjugal, loin des regards indiscrets.
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Ces révélations explosives contraignent désormais la justice à agir en urgence.