
Justice Rendue : Perpétuité Pour La Mère, Mystères Non Élucidés
Cette condamnation à 20 ans marque le premier volet d’une justice qui se veut exemplaire. Mais c’est Sandrine Pissara qui écope de la peine maximale : la réclusion criminelle à perpétuité pour actes de torture et de barbarie. Une sanction historique qui reflète l’horreur absolue de ses crimes.
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Le verdict tombe comme un couperet. Les jurés n’ont montré aucune clémence face à cette mère qui a méthodiquement détruit sa propre fille. La perpétuité sanctionne non seulement les coups, la privation de nourriture, mais surtout cette cruauté calculée qui a mené Amandine à la mort.
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Pourtant, malgré ces condamnations lourdes, l’énigme demeure entière. Pourquoi cette haine viscérale envers son enfant ? Qu’est-ce qui pousse une mère à orchestrer consciemment l’agonie de sa fille de 13 ans ? Les psychiatres ont tenté d’analyser, les enquêteurs ont fouillé le passé familial.
En vain. Sandrine Pissara emporte ses secrets avec elle derrière les barreaux. Ses quelques mots – « Je suis un monstre » – ne constituent pas une explication. Juste un constat tardif qui ne ressuscitera jamais Amandine.
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Cette affaire laisse un goût d’inachevé. La justice a tranché, les coupables sont punis. Mais les mécanismes profonds de cette tragédie familiale échappent encore à toute compréhension rationnelle.