Du « Chinois Marrant » Au Jamel Comedy Club : L’Ascension D’Un Talent
Ce talent que Philippe Delmas pleurait avait mis des années à éclore. Bun Hay Mean avait d’abord conquis Paris sous un pseudonyme qui marquait les esprits : « Chinois Marrant ».
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Un surnom qui collait à la peau et qui donnait son titre à son premier spectacle. Mais derrière cette étiquette se cachait une ambition plus large et un travail acharné dans les cafés parisiens.
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La rencontre décisive survient grâce à Alain Degois, fondateur de la compagnie théâtrale du Déclic Théâtre. Cet homme repère le potentiel de l’humoriste et lui ouvre les portes d’un réseau artistique foisonnant. Bun Hay Mean côtoie alors des talents de sa génération comme Kheiron ou Kyan Khojandi.
Mais c’est la rencontre avec Jamel Debbouze qui change tout. L’humoriste star lui propose d’intégrer le Jamel Comedy Club en 2014. Cette année-là marque le véritable décollage de sa carrière.
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L’ancien « Chinois Marrant » accède enfin à la reconnaissance qu’il méritait. Le Jamel Comedy Club devient son tremplin vers la notoriété, cette scène mythique où se sont révélés tant d’humoristes français.
2014 restera l’année charnière. Celle où Bun Hay Mean passe du statut d’humoriste prometteur à celui d’artiste reconnu de la scène parisienne. Une ascension qui semblait ne jamais devoir s’arrêter.
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