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Lio sur scène 15 jours après le drame : son attitude en coulisses dévoilée, sans saluer…

Julie K.
6 Min de lecture

Lio fait son retour sur scène dans la tournée « Les Années 80 » à Anzin, seulement quinze jours après le suicide tragique de son fils Diego. Alors que le public lui réserve une standing ovation émouvante, les coulisses révèlent une autre réalité : l’artiste de 62 ans apparaît déchirée par le chagrin, quittant précipitamment les lieux après son passage sans saluer ses pairs. Un témoignage exclusif du magazine Voici lève le voile sur la souffrance muette de la chanteuse derrière le rideau.

Un retour sous le signe de l’émotion

Le 15 mars 2025, Lio remonte sur la scène de la cité des Congrès d’Anzin pour la tournée « Les Années 80 », moins de quinze jours après le suicide de son fils Diego. Accueillie par une standing ovation du public, la chanteuse interprète ses tubes mythiques, dont Le banana split, avec une apparente détermination. Mais derrière cette façade professionnelle, son regard trahit une douleur à peine contenue.

Selon un témoin présent sur place, l’artiste de 62 ans arrive au dernier moment avant son passage et quitte immédiatement les lieux après sa prestation, « sans saluer un seul artiste ». Ce comportement inhabituel contraste avec l’énergie déployée sur scène, où Lio semble puiser dans ses dernières forces pour honorer son engagement devant des fans visiblement émus.

Une douleur palpable hors des projecteurs

En coulisses, l’attitude de Lio contraste radicalement avec sa prestation scénique. La chanteuse de 62 ans arrive quelques minutes seulement avant son entrée en scène, évitant tout contact avec les autres artistes de la tournée. Immédiatement après son dernier refrain, elle quitte les lieux sans un mot ni un geste vers ses collègues, selon les révélations exclusives du magazine Voici.

Un membre de l’organisation décrit une scène glaçante : « Elle a fait le job mais, clairement, le cœur déchiré ». Les équipes techniques rapportent une présence fantomatique, Lio restant prostrée dans sa loge entre deux morceaux. Ce comportement, inhabituel pour l’artiste réputée chaleureuse, illustre l’ampleur du traumatisme vécu depuis la mort de son fils.

Le drame familial qui ébranle Lio

Le 2 mars 2025, Diego, fils cadet de Lio âgé de 21 ans, met fin à ses jours en s’immolant par le feu près de l’aéroport de Roissy. Son acte survient après plusieurs heures de disparition, alors que le jeune homme présentait des signes évidents de troubles psychiques, selon les informations révélées par l’enquête.

La chanteuse annonce la tragédie à son entourage par un message lapidaire relayé par Paris Match : « Mon Diego est mort ». Ces quatre mots, lâchés comme un cri de détresse, résument l’indicible douleur d’une mère confrontée à la pire des épreuves. Les proches de l’artiste restent muets sur les causes exactes du geste du jeune homme.

Public ému et professionnels compatissants

La prestation de Lio provoque une vague d’émotion dans la salle comble d’Anzin. Les spectateurs, visiblement touchés par son courage, scandent son nom pendant l’interprétation de Les brunes comptent pas pour des prunes. Certains fans avoueront plus tard avoir retenu leurs larmes devant la vulnérabilité transparaissant entre deux refrains.

Du côté des artistes et techniciens, aucun reproche n’est adressé à la chanteuse. Un membre de la production confirme à Voici : « Évidemment, personne ne lui en a voulu, ce qu’elle vit est tellement dur ». Les équipes adaptent discrètement l’organisation pour préserver l’artiste, réduisant au strict minimum ses interactions en coulisses.

Entre résilience et polémique

Le choix de Lio de reprendre la tournée seulement quinze jours après le drame divise. Alors que certains saluent son professionnalisme inébranlable, d’autres s’interrogent sur l’opportunité de ce retour express. La chanteuse maintient pourtant les dates suivantes à Nantes et Lyon, malgré les appels à une pause.

Des psychologues interrogés par Paris Match évoquent des mécanismes de survie typiques du choc traumatique. « Certains trouvent dans le travail un exutoire à leur douleur », explique un spécialiste du deuil. Mais la polémique enfle sur les réseaux sociaux, où des internautes jugent « indécent » ce retour précipité, tandis que d’autres défendent farouchement sa liberté de choix.