
La Charge Contre Instagram Et L’hypocrisie Du Milieu
Ces tabous, Lola Marois les dénonce avec une franchise décapante. Son principal grief ? La censure grandissante d’Instagram, plateforme qu’elle accuse ouvertement de puritanisme excessif.
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« Instagram devient très puritain, on enlève à peine le haut qu’on est bannie ou que notre photo est supprimée », déplore-t-elle. Pour l’actrice, cette évolution contraint les femmes à s’autocensurer sur leurs propres corps. « Mais j’aime le corps de la femme, j’aime être une femme », revendique-t-elle.
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Son analyse va plus loin. Lola Marois pointe du doigt l’hypocrisie criante du milieu audiovisuel traditionnel : « Combien de comédiennes se déshabillent pour un producteur avec un cachet minable ». Une dénonciation sans appel des pratiques établies où l’exploitation reste la norme.
Sa solution ? Reprendre le contrôle. « Ici, si les gens veulent voir, l’argent tombe directement dans notre poche », explique-t-elle, établissant une différence fondamentale entre exploitation et autonomie.
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L’actrice s’appuie sur l’exemple américain pour légitimer sa démarche. De Nicki Minaj à Kim Kardashian, les stars outre-Atlantique ont démocratisé ces plateformes sans scandale majeur. « Aux États-Unis c’est bien plus démocratisé », constate-t-elle, soulignant le retard français sur ces questions.
Pour Lola Marois, le véritable problème réside ailleurs : « Ça dérange qu’une femme puisse être son propre patron ».
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