Les raisons d’un poisson d’avril si réaliste
Dans un live postérieur, Lou Pernaut justifie ce canular en évoquant son envie de « tester l’ambiance », après des mois de cyberharcèlement lié à sa vie privée. « Les réseaux sociaux sont un terrain miné, j’avais besoin de voir qui me suivait vraiment », explique-t-elle, sans regretter cette expérience sociale audacieuse.
Son entourage confie à Buzzday son penchant pour les blagues frontales, déjà visible lors de son passage dans Les Cinquante en 2024. « Lou assume un humour décalé, même si ça déroute parfois. Là, elle a poussé le vice en jouant sur l’émotion pure », révèle une proche, rappelant ses précédentes provocations assumées face aux caméras.
Leçons et répercussions d’une fake news éclair
L’épisode provoque un débat sur la crédibilité des influenceurs. « On ne sait plus quoi croire », « Arrêtez de jouer avec nos émotions ! », tempêtent certains abonnés. À l’inverse, d’autres saluent l’audace de Lou Pernaut : « Enfin une personnalité qui assume l’humour noir ! », écrit un follower, rappelant ses précédentes prises de position face aux haters.
Dans un live Instagram, la jeune femme assume pleinement son choix : « Je partage ma vérité, mais je reste libre de pimenter mon réseau ». Un équilibre délicat, alors que le fake a généré près de 200 000 interactions en 24 heures. Preuve que même éphémère, une annonce choc marque les esprits… et les algorithmes.