Une étoile filante de la mode s’éteint brutalement à 27 ans. Lucy Markovic, mannequin australien aux défilés prestigieux, a succombé à une maladie foudroyante révélée sur les réseaux sociaux. Alors que sa famille dévoile un rêve secret et un projet inabouti, les derniers mots bouleversants de l’agence Elite résonnent comme un adieu à une carrière prometteuse. Comment ses proches rendent-ils hommage à celle qui « pouvait illuminer une pièce » ?
Une annonce qui brise le cœur de la mode internationale
Elite Model Management secoue le milieu fashion avec un communiqué glaçant publié le 11 avril. « Nous avons le cœur brisé », annonce l’agence sur Instagram en révélant le décès soudain de Lucy Markovic. La top model australienne s’éteint à 27 ans des suites d’une malformation artérioveineuse cérébrale, une pathologie rare et foudroyante.
L’hommage de l’agence esquisse le portrait d’une « lumière » au rire communicatif. « Son sourire pouvait illuminer une pièce », souligne le post officiel qui rappelle son parcours fulgurant. Un destin brisé en pleine ascension pour celle dont le rêve de devenir mannequin s’est réalisé sous les projecteurs des plus grands défilés.
Les derniers mots de Lucy Markovic résonnent comme un testament involontaire. Quelques jours avant sa mort, la jeune femme partageait sur Instagram son combat contre « une malformation de la taille d’une balle de golf », selon ABC Australia. Une course contre la mort documentée en temps réel, jusqu’à son ultime story du jeudi soir : « lutter contre la mort ».
De Australia’s Next Top Model aux défilés prestigieux
Originaire de Gold Coast, Lucy Markovic voit son destin basculer en 2015. La jeune femme de 1,81 mètre se révèle au grand public dans *Australia’s Next Top Model*, émission phare qui lance sa carrière internationale. En quelques années, elle enchaîne les podiums des plus grandes maisons : Givenchy, Versace et Armani trustent ses prestations.
L’agence Elite Model Management souligne une signature unique : « Elle a apporté élégance, force et beauté à son travail. Mais plus que ça, elle s’est apportée elle-même – sa chaleur, son rire, sa lumière ». Un cocktail rare entre rigueur professionnelle et rayonnement personnel qui séduit l’univers exigeant du luxe.
Au-delà des paillettes, ses proches rappellent une autre facette méconnue : une entrepreneuse en devenir. Deux ans de travail discret sur une application fitness, projet qu’elle s’apprêtait à dévoiler quand la maladie a frappé. Une détermination sans faille qui explique son ascension foudroyante.
L’ultime hommage familial et le rêve inavoué
La famille de Lucy Markovic dévoile un pan intime de sa personnalité dans un hommage Instagram bouleversant. « Tes ambitions étaient toujours si élevées », écrit-elle en révélant le projet secret de la mannequin : une application fitness développée pendant deux ans, sur le point d’être lancée.
Un rêve longtemps gardé silencieux jaillit enfin : « Ton rêve était d’être un ange Victoria’s Secret », confient ses proches. Une référence directe aux célèbres créatures ailées du défilé de lingerie, ultime aspiration pour celle qui arpentait déjà les podiums des plus grandes marques.
L’hommage se clôt sur une image poignante : « Maintenant, tu marcheras avec tous les anges dans le ciel ». Une métaphore céleste qui résonne comme un adieu déchirant à cette battante au double projet – conquérir la mode internationale et révolutionner le fitness digital.
Un combat médical documenté en direct
Dès mars, Lucy Markovic alerte ses abonnés sur l’urgence médicale. La malformation artérioveineuse cérébrale, « de la taille d’une balle de golf » selon ABC Australia, nécessite une intervention chirurgicale programmée le 26 mars. L’opération est reportée au 2 avril, alors que son état se dégrade rapidement.
Dans une story Instagram publiée le jeudi précédant son décès, la mannequin partage son ultime combat : « lutter contre la mort ». Ces mots glaçants, postés quelques heures avant sa disparition, dessinent le tragique compte à rebours d’une course perdue d’avance.
Un témoignage exceptionnel pour cette personnalité publique qui aura maintenu sa transparence jusqu’au bout. Ses publications médicales, d’abord destinées à informer ses fans, deviennent malgré elle le journal intime d’une bataille sanitaire acharnée.
