Une carrière fulgurante interrompue à 27 ans. La disparition soudaine de Lucy Markovic, mannequin révélé par Australia’s Next Top Model, secoue l’univers de la mode. Derrière les défilés pour les plus grandes maisons se cachait un combat invisible contre une maladie foudroyante. Alors que les hommages affluent, un message posthume bouleverse ses proches : « Il est bien trop tôt… ». Pourquoi cette jeune star internationale a-t-elle inspiré une telle vague d’émotion ?
Une disparition qui bouleverse le milieu de la mode
La mannequin australienne Lucy Markovic s’éteint brutalement à 27 ans, annonce Elite Model Management ce 10 avril. La jeune femme succombe à une malformation artério-veineuse cérébrale, une pathologie rare contre laquelle elle luttait depuis plusieurs semaines.
Dans un communiqué, son agence rend hommage à « une lumière éclatante », soulignant que le mannequinat figurait parmi ses rêves les plus chers. « Nous sommes honorés d’avoir fait partie de son voyage », peut-on lire dans le texte officiel qui décrit une carrière prometteuse brutalement interrompue.
Le décès survient après un combat médical intense mais discret. L’article source précise que cette anomalie vasculaire cérébrale, bien que non détaillée dans ses symptômes, a emporté la jeune femme en quelques semaines seulement. Un drame qui soulève des questions sur les aléas de santé frappant parfois les jeunes talents internationaux.
Des podiums prestigieux pour une ascension fulgurante
Découverte en 2015 dans Australia’s Next Top Model, Lucy Markovic s’impose rapidement parmi les têtes d’affiche de la mode internationale. Son book éblouissant compte des défilés pour Dolce Gabbana, Givenchy et Versace, trois géants de la haute couture qui lui ont ouvert leurs podiums les plus exclusifs.
Cette australienne au physique androgyne devient en quelques saisons l’une des chouchoutes des créateurs. Son parcours sans faute l’amène à travailler avec Oscar de la Renta et d’autres maisons légendaires, signe d’une carrière aussi brillante que rapide.
Le milieu se souvient d’une professionnelle exigeante, capable d’incarner aussi bien le glamour hollywoodien que l’avant-garde minimaliste. Une polyvalence rare qui expliquerait son succès fulgurant sur la scène mondiale, des shoots parisiens aux défilés milanais.
Une vague d’émotion internationale
La famille de Lucy Markovic rend public un hommage déchirant sur son compte Instagram, mêlant tendresse et déchirement : « Il est bien trop tôt pour partir (…) En attendant, envole-toi ». Ce message posthume, relayé en story puis en publication, déclenche immédiatement des milliers de réactions.
L’agence Elite Model Management joint sa voix au chœur des hommages en saluant « une lumière éclatante », tandis que Donatella Versace partage son propre adieu sur les réseaux sociaux. « Repose en paix ma belle », écrit sobrement la directrice artistique de Versace dans une story rapidement devenue virale.
Ces témoignages croisés révèlent l’empreinte laissée par la jeune mannequin. Des créateurs aux fans anonymes, c’est toute une industrie qui se souvient d’un sourire radiant sur les podiums et d’une énergie communicative en coulisses. Un legs émotionnel qui transcende les frontières de la mode.
Un combat médical derrière les projecteurs
Lucy Markovic affrontait depuis plusieurs semaines une malformation artério-veineuse cérébrale, pathologie rare qui provoque des anomalies dans la vascularisation du cerveau. L’article source ne précise pas les symptômes ni le traitement suivi, mais souligne la rapidité fatale de l’évolution.
Ce diagnostic complexe, souvent méconnu du grand public, rappelle la vulnérabilité des jeunes talents sous pression. Le milieu de la mode évoque une lutte menée dans l’intimité, alors même que la mannequin continuait – jusqu’à ses dernières semaines – à incarner une image de vitalité sur les réseaux sociaux.
Aucune information complémentaire ne filtre sur les circonstances exactes du décès. Seul élément confirmé : une issue tragique survenue en quelques semaines, alors que l’artiste prometteuse semblait au sommet de sa carrière. Une disparition qui interroge sur l’invisibilité des combats médicaux dans les industries créatives.
