100 000$ la séance : l’industrie secrète de la torture chic
Ces « soirées premium » fonctionneraient via un réseau crypté réservé aux ultra-riches, selon des documents consultés par Buzzday. Les clients paient jusqu’à 100 000 $ pour pratiquer mutilations et humiliations sur des victimes recrutées via des « castings piégés ». Les séances se déroulent dans des suites d’hôtels 7 étoiles ou sur des yachts, loin des caméras de surveillance.
« Les organisateurs fournissent des « kits de torture » avec pinces, lames et produits anesthésiants », révèle un ancien garde du corps repenti. Malgré les lois strictes de l’émirat contre les violences physiques, ces événements prospéreraient grâce à des complicités policières et des pots-de-vin versés aux gestionnaires d’hôtels de luxe. Plusieurs victimes survivantes évoquent des séances filmées revendues sur le darknet.
Silence forcé et impunité : l’enquête dans l’impasse
Maria Kovalchuk reste muette sous assistance respiratoire, ses médecins interdisant tout interrogatoire pour « raisons médicales impératives ». Des membres de sa famille affirment être menacés par des appels anonymes les enjoignant de « cesser de parler aux médias internationaux ».
L’enquête conjointe d’Interpol et des autorités ukrainiennes se heurte au refus de coopération des services dubaiotes. « Les témoins clés ont quitté le pays, les enregistrements hôteliers sont introuvables », déplore un procureur européen sous couvert d’anonymat. Trois employés d’hôtel ayant accepté de témoigner ont été intimidés puis licenciés, selon des documents internes consultés par nos services.