Marine Le Pen cède la demeure familiale : le montant astronomique dévoilé

Marie Q.
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Dans le monde feutré de l’immobilier de luxe, une transaction récente a fait grand bruit. Marine Le Pen, figure emblématique de la politique française, vient de se séparer d’un bien familial d’exception. La villa de son père, Jean-Marie Le Pen, nichée dans le paisible écrin de Rueil-Malmaison, a changé de mains pour une somme astronomique.

Cette demeure, surnommée affectueusement « la Bondonnière », n’est pas un simple pavillon de banlieue. Avec ses 300 m² répartis sur deux étages, ses neuf pièces et sa piscine, elle incarne le rêve bourgeois par excellence. Sans oublier sa dépendance de 54 m² et son vaste terrain de 1 600 m², qui en font un véritable havre de paix aux portes de Paris.

Une plus-value spectaculaire

L’histoire de cette villa est aussi celle d’un investissement judicieux. Acquise en 2012 pour la modique somme de 720 000 euros, elle vient d’être cédée pour pas moins de 2,5 millions d’euros. Une plus-value vertigineuse de 1,8 million d’euros en seulement onze ans, qui témoigne de l’attractivité croissante du marché immobilier haut de gamme en région parisienne.

Cette transaction hors norme a été orchestrée par Marine Le Pen elle-même, épaulée par sa sœur Yann. Jean-Marie Le Pen, affaibli par le poids des ans, n’a pas pris part aux négociations. Les nouveaux propriétaires ne sont autres que Pierre-Edouard Stérin, milliardaire catholique ultraconservateur, et François Durvye, tous deux proches de la présidente du Rassemblement National.

Un patrimoine immobilier diversifié

Mais la « Bondonnière » n’est pas le seul joyau immobilier de la famille Le Pen. Marine possède également une charmante maison de vacances dans son fief de La Trinité, en Bretagne. Cette longère de pêcheur typique, longue d’une vingtaine de mètres, offre un cadre idyllique pour se ressourcer loin de l’agitation politique.

Avec son étage surmonté de fenêtres en chien-assis et son vaste jardin, cette propriété bretonne incarne un tout autre style de vie que la villa de Rueil-Malmaison. Elle témoigne de l’attachement de Marine Le Pen à ses racines et à un certain art de vivre à la française, loin des dorures de la République.