
Des Amendes En Pleine Nuit : Le Calvaire Des Habitants
Ces vies bouleversées ont des visages. Une mère célibataire en arrêt de travail découvre l’ampleur du harcèlement en avril dernier. Six contraventions en une seule semaine pour un véhicule qui n’avait pas bougé. L’aberration : ces amendes sont dressées entre minuit et cinq heures du matin.
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« Je n’en dors plus la nuit », confie cette résidente épuisée. « Dès que j’entends une moto ou une voiture, je crois que c’est lui qui me met un PV ». L’angoisse permanente remplace le sommeil. Chaque bruit nocturne déclenche une alerte psychologique.
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La situation dégénère rapidement. Cette mère de famille, déjà fragilisée par son arrêt maladie, sombre dans un état de stress post-traumatique. « C’est un enfer, je vois un psychiatre », avoue-t-elle dans un témoignage glaçant.
Le protocole habituel d’un contrôle de police se transforme ici en torture psychologique. Des amendes distribuées aux heures les plus insolites, quand les résidents dorment, créent un climat de terreur administrative. Le sommeil devient impossible, l’anticipation d’une nouvelle contravention remplace le repos nocturne.
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Cette escalade révèle une dimension inquiétante de l’affaire. Au-delà des aspects financiers, c’est la santé mentale des victimes qui vacille sous les coups répétés d’un acharnement inexpliqué.