Enquête Ouverte : Les Zones D’Ombre D’Une Affaire Troublante
Cet acharnement méthodique révèle des irrégularités procédurales majeures. L’analyse des contraventions soulève des questions dérangeantes sur les conditions de verbalisation. « Ce policier n’est même pas en service aux heures indiquées sur les PV », dénonce une plaignante. Comment dresser des amendes légalement en dehors de ses horaires de travail ?
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L’emplacement des verbalisations pose un second problème juridique. La résidence Cap-Vista constitue une voie privée, fermée par un portail électrique au fond d’une impasse. « Nous sommes sur des voies privées », insistent les résidents. Cette particularité remet en question la légalité même des contraventions.
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Le mystère entoure encore l’identité du verbalisateur. « On ne connaît pas son visage. C’est un mystère », explique une victime. Seul le numéro de matricule récurrent trahit sa présence nocturne répétée.
Face à l’accumulation de preuves, la police a ouvert une enquête officielle. Plusieurs plaignants ont déjà engagé un avocat pour défendre leurs droits. Cette affaire fait écho à un précédent troublant dans la même ville.
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Une policière marseillaise avait déjà inondé ses voisins de l’impasse des Olivettes. Un homme avait reçu 56 procès-verbaux en quelques mois. Cette répétition interroge sur les mécanismes de contrôle internes et la supervision des forces de l’ordre.
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