« Mes enfants seront noirs » : la déclaration qui enflamme la toile
« Mes enfants seront noirs, ce n’est pas encore dans nos plans mais j’en discute avec mes médecins », lâche Martina Big sur le plateau de This Morning. Une annonce fracassante où elle prétend que sa transformation mélanique influencerait la pigmentation de sa future progéniture. « Je suppose que ce sera un mix de Michael et moi », ajoute-t-elle, suscitant stupeur chez les généticiens et vague de moqueries en ligne.
Le #EnfantsBigGate devient viral : « Une blonde qui se peint en noir et croit faire des bébés ethniques ? La réalité dépasse la fiction ! », rage un internaute. Malgré les rappels scientifiques sur l’hérédité génétique, la mannequin maintient ses dires, évoquant même un « droit à l’auto-détermination raciale ». Une position qui alimente les craintes d’une banalisation du black-fishing, tandis que ses détracteurs dénoncent une « mascarade identitaire ».
Vie sous projecteur : le paradoxe d’une égérie polymorphe
Entre hypermédiatisation et handicaps physiques, Martina Big incarne un équilibre instable. Son mari pilote, initiateur de ses transformations, témoigne d’une relation « fusionnelle mais épuisante », tandis que les marques allemandes la boudent depuis ses déclarations sur l’Afrique. Pourtant, son statut d’influenceuse rebondit : elle négocierait des contrats avec des entreprises cosmétiques camerounaises.
Son départ imminent cristallise les contradictions : célébrée par certains médias africains comme une « icône transculturelle », elle subit des campagnes de boycott localement. « Son projet de chirurgie fessière avant d’arriver ici, c’est une insulte », s’indigne une entrepreneuse ghanéenne. Malgré les polémiques, Martina Big promet une « révélation spectaculaire » lors de son installation, alimentant un buzz qui masque mal ses difficultés à marcher sans aide, conséquence directe de ses implants mammaires.