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Mathieu Lezeau (@ma_tribuu) dévoile l’incroyable origine des pets de nonne de sa mamie : Une religieuse aurait…

Julie K.
7 Min de lecture

La recette pas à pas : entre tradition et touche secrète au rhum

La pâte des « pets de nonne » de la mamie de Mathieu mêle simplicité et précision technique. Dans une casserole, eau, beurre, sucre et sel chauffés à feu doux accueillent 250 g de farine incorporés d’un coup, puis travaillés jusqu’à former une boule homogène. Six œufs sont ajoutés un à un, avant la « lichette de rhum » qui parfume subtilement l’ensemble – un héritage familial non négociable.

Le vrai défi réside dans la cuisson à 170°C exactement, température cruciale pour obtenir des beignets « dorés à l’extérieur, aériens à l’intérieur ». Contrairement aux versions modernes utilisant fleur d’oranger ou vanille, la recette originelle mise sur l’équilibre entre le croustillant et le moelleux. Les boules de pâte, façonnées à la cuillère, doivent être plongées dans l’huile par petites quantités – gage de légèreté selon les recommandations strictes de la grand-mère.

Les astuces de mamie pour des pets de nonne « légers comme un nuage »

Le contrôle strict de la température de l’huile reste la clé, martèle la grand-mère de Mathieu. À 170°C, les beignets gonflent sans absorber trop de gras, tandis qu’une surveillance constante évite qu’ils ne brunissent trop vite. « L’huile doit chuchoter, pas crépiter », insiste-t-elle, rappelant que chaque fournée nécessite un ajustement minutieux du feu.

Autre impératif : ne pas surcharger la friteuse pour que les boules de pâte cuisent uniformément. La mamie conseille aussi de les égoutter sur du papier absorbant avant de les saupoudrer de sucre glace. Enfin, un détail qui change tout : déguster les pets de nonne tièdes, accompagnés d’un chocolat chaud – la promesse d’un voyage sensoriel droit dans l’enfance.