Le Calvaire Des Enfants Et L’Issue Dramatique
À 16h30, Maya Hernandez découvre l’horreur. Son bébé d’un an présente de l’écume à la bouche, son petit corps secoué par une crise d’épilepsie. Les symptômes de l’hyperthermie sont déjà là, implacables.
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L’appel aux urgences se fait dans la panique. Les deux enfants sont transportés d’urgence à l’hôpital. Mais pour le plus jeune, il est déjà trop tard. À son arrivée dans l’établissement, le bébé ne respire plus. Ses lèvres sont bleues, sa température corporelle dépasse 42°C. Le petit cœur a cédé sous la chaleur extrême.
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Les médecins tentent tout pour le sauver. En vain. Le bébé décède aux urgences, victime d’un coup de chaleur fatal. Son organisme fragile n’a pas résisté à l’enfer de l’habitacle surchauffé.
Son frère de 2 ans, lui, survit. Une différence physiologique cruciale explique ce miracle relatif. Les enfants de plus de deux ans peuvent réguler leur température corporelle interne, contrairement aux bébés. Cette capacité de thermorégulation naissante lui sauve la vie.
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Après les premiers soins, l’enfant mange et boit normalement. Mais sa famille a volé en éclats. Le petit garçon est immédiatement placé dans une nouvelle famille d’accueil. Orphelin de frère, séparé de sa mère par une négligence criminelle.
Deux destins, deux issues. L’un emporté par la chaleur, l’autre sauvé par quelques mois de développement supplémentaires.
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