Un casting cinq étoiles pour une énigme à tiroirs
Giancarlo Esposito (Breaking Bad) incarne le chef du personnel assassiné, dont le passé trouble alimente les spéculations. À ses côtés, Randall Park (WandaVision) joue un agent des services secrets au regard inquiétant, tandis que Susan Kelechi Watson (This Is Us) campe une jardinière présidentielle aux secrets explosifs.
Le showrunner Paul Williams Davies a choisi Ken Marino (Veronica Mars) pour incarner un conseiller présidentiel véreux. Chaque performance renforce le suspense : « Les acteurs ont insufflé une ambiguïté magnifique à leurs personnages », explique-t-il. Même les rôles secondaires, comme le majordome interprété par un ancien Marine reconverti, ajoutent une épaisseur historique au thriller.
Un triomphe planétaire en moins de 48 heures
La Résidence pulvérise les records Netflix en devenant N°1 mondial dès son lancement, grâce à son mélange de suspense politique et d’humour absurde. Le studio Shondaland réinvente le whodunit en exploitant chaque recoin du Bureau Ovale, des cuisines présidentielles aux tunnels secrets. « C’est du Hitchcock dans un décor de House of Cards », résume un producteur.
Les critiques soulignent le twist final qui « retourne l’intrigue comme une crêpe », selon un fan sur Twitter. Entre hommage à Agatha Christie et clin d’œil à Joël Dicker, la série séduit aussi bien les amateurs d’énigmes que les passionnés de thrillers politiques. Résultat : les viewers réclament déjà une saison 2, tandis que Netflix envisagerait un spin-off centré sur les employés de la Roseraie.
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