
Deux Ans Après, L’enquête Piétine Dans Le Hameau Du Haut-Vernet
Le hameau du Haut-Vernet résonne encore des pas des gendarmes. Ces dernières semaines, les enquêteurs ont repris leurs investigations avec une détermination intacte, fouillant méthodiquement les jardins, scrutant chaque recoin le long des maisons. Deux ans jour pour jour après la disparition du petit Émile, l’espoir de percer le mystère anime toujours les forces de l’ordre.
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Cette fois, la zone d’investigation s’est resserrée. Exit les vastes battues des premiers mois : les gendarmes concentrent leurs efforts sur un périmètre restreint, qu’ils passent au peigne fin avec une précision chirurgicale. Chaque mètre carré est scruté, analysé, documenté. La conviction des enquêteurs reste inébranlable : « C’est bien ici que se trouve la clé du mystère ».
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Pourtant, malgré cet acharnement méthodique, aucune percée majeure n’émerge de ces nouvelles fouilles. Les indices se font toujours attendre, laissant les familles et l’opinion publique dans l’expectative. L’enquête semble prisonnière de ce territoire escarpé des Alpes-de-Haute-Provence, où chaque pierre pourrait recéler un secret.
Les gendarmes persistent, convaincus que la vérité sur la mort d’Émile sommeille quelque part dans ces jardins silencieux. Mais le temps presse et les questions s’accumulent.
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