Le « détail qui change tout » : l’élément clé révélé par la procureure
La procureure Sophie Lacote confirme un fait « déterminant » : les analyses excluent toute trace d’alcool ou de stupéfiants chez le conducteur. Cette donnée, contraire aux hypothèses initiales, relance l’enquête sur d’autres causes potentielles comme un problème mécanique ou un défaut de visibilité. « Ce paramètre modifie notre approche des faits », explique-t-elle sans divulguer davantage.
Les enquêteurs examinent désormais l’état du véhicule et les conditions de circulation au moment du drame. Aucune défaillance technique n’est officiellement confirmée, mais la présence éventuelle d’un angle mort critique ou d’un manque de signalisation fait partie des pistes privilégiées. Les conclusions de l’expertise routière sont attendues sous 48 heures.
Prévention vs polémique : les mesures urgentes réclamées par les habitants
Les riverains réclament des ralentisseurs et un renforcement de la signalisation près des zones résidentielles, estimant que l’accident aurait pu être évité. La mairie de Niort annonce une réunion publique exceptionnelle pour évaluer les aménagements possibles, tout en soulignant que le secteur était « conforme aux normes » avant le drame.
Une association nationale de sécurité routière saisit l’occasion pour relancer son combat : « Les véhicules sans système anti-angle mort devraient être interdits », martèle son président. Le débat s’étend sur les réseaux sociaux, où des internautes partagent des témoignages similaires dans des quartiers jugés « à risque ».
