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Pape François : Son dernier message dissimulait un secret médical bien plus lourd dévoilé par le Vatican

Julie K.
6 Min de lecture

Le pape François cache un secret jusqu’à son dernier souffle : son ultime discours pascal, prononcé depuis un fauteuil roulant le 20 avril 2025, dissimule une réalité médicale accablante. Derrière ses appels à la paix mondiale se profile un « cocktail mortel » de pathologies révélé par le Vatican – cinq diagnostics simultanés expliquant sa brutale disparition. Alors que s’organisent des funérailles hors normes à Sainte-Marie-Majeure, une question persiste : comment ce réformateur anticonformiste, premier pape non-européen, a-t-il marqué l’histoire tout en luttant contre l’effondrement de son corps ?

Un ultime message de paix malgré la souffrance

Le 20 avril 2025 à 17h23, le pape François apparaît pour la dernière fois au balcon de la basilique Saint-Pierre. Installé dans un fauteuil roulant, le souverain pontife de 88 ans adresse un message pascal « empreint de compassion et d’espérance ». Son appel à la fin des conflits mondiaux contraste avec sa propre vulnérabilité physique visible.

Malgré des difficultés respiratoires et une extrême fatigue, il insiste pour saluer personnellement les fidèles. Ce geste symbolique, préparé en secret avec ses proches, devient son testament spirituel inattendu. 24 heures avant sa mort, il choisit de clore son pontificat par un plaidoyer universel contre la violence.

La scène marque les esprits : le chef spirituel d’1,3 milliard de catholiques, habitué aux embrassades populaires, doit désormais s’appuyer sur deux assistants pour se maintenir assis. Son bref discours de trois minutes, ponctué de silences éloquents, restera dans l’histoire comme l’un des adieux les plus poignants de la papauté moderne.

Le rapport médical qui éclaire une agonie annoncée

Le Vatican lève le voile sur cinq pathologies simultanées ayant provoqué la mort du pape François le 21 avril 2025 à 7h35. Le communiqué du Saint-Siège liste avec une précision clinique : « pneumonie polymicrobienne, insuffisance respiratoire aiguë, bronchectasies, hypertension et diabète de type II ». Un « cocktail mortel » selon les experts, ayant entraîné un AVC foudroyant.

Le Pr Andrea Arcangeli, directeur de la santé vaticane, précise : « L’arrêt cardio-circulatoire fut instantané et irréversible ». Cette issue tragique couronne six semaines de lutte contre une pneumonie bilatérale diagnostiquée en février à l’hôpital Gemelli. Malgré une amélioration temporaire, l’état du pontife restait « fragile et instable » selon ses médecins.

Les signes avant-coureurs ne manquaient pas : essoufflements persistants, voix éteinte dès le lundi de Pâques, incapacité à prononcer son traditionnel message. Le Vatican reconnaît aujourd’hui avoir surveillé une chute physiologique inéluctable, combinant l’âge avancé et des comorbidités aggravées par des années de service intense.

Un réformateur anticonformiste qui bouleverse les codes

Jorge Mario Bergoglio marque l’histoire dès 2013 en devenant le premier pape jésuite et non-européen, issu du continent américain. Son choix de résider à la maison Sainte-Marthe plutôt qu’au palais apostolique symbolise sa « simplicité de vie » revendiquée, rompant avec huit siècles de tradition vaticane.

Son pontificat de douze ans se distingue par des prises de position audacieuses : plaidoyers pour la protection de l’environnement, dénonciations des inégalités sociales, et appels historiques à accueillir les réfugiés et personnes LGBTQ+. Une orientation qui lui vaut autant d’adhésions que de critiques au sein de l’Église conservatrice.

Ce fils d’immigrés italiens né à Buenos Aires impulse surtout une nouvelle gouvernance collégiale, privilégiant les synodes aux décisions solitaires. Sa vision d’« une Église pauvre pour les pauvres » se concrétise par la création de structures d’accueil pour sans-abri autour du Vatican, reflet tangible de son engagement pour la justice sociale.

Des funérailles sobres et une succession historique en marche

Le pape François choisit une dernière rupture avec les traditions en optant pour une sépulture à la basilique Sainte-Marie-Majeure, loin des tombes papales de Saint-Pierre. Ce vœu testamentaire s’inscrit dans sa logique permanente de « sobriété institutionnelle », selon les observateurs du Vatican.

Une période de deuil inédite de neuf jours (novemdiales) précède les obsèques, permettant aux fidèles de 139 pays de rendre hommage. Le cardinal Kevin Farrell assume l’intérim en tant que camerlingue, tandis que la machine à préparer le conclave s’active déjà.

Parmi les papabili, un cardinal français émerge dans les spéculations, une première depuis le XIVe siècle. Cette hypothèse relance l’espoir d’une Église plus ouverte en Europe, héritage indirect des réformes de François. Le prochain souverain pontife devra pourtant composer avec un profond clivage entre conservateurs et progressistes.