
Pierce Brosnan Se Réinvente Dans Un Registre Inédit
Cette réinvention artistique atteint son paroxysme avec Pierce Brosnan lui-même. L’ancien James Bond assume pleinement cette rupture radicale avec son image policée.
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« C’est génial de pouvoir dire aussi souvent putain et d’être complètement grossier », confie l’acteur irlandais à Télé-Loisirs avec un enthousiasme décomplexé. Cette déclaration résume parfaitement l’ampleur de sa transformation : de l’élégance britannique à la brutalité criminelle, Brosnan brise tous ses codes.
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Le langage cru devient un terrain de jeu libérateur. « Il y a tellement de jurons dans cette série ! », révèle-t-il, précisant qu’Helen Mirren, qui incarne l’épouse de son personnage, « n’en avait jamais autant dit, dans aucun film ». Cette complicité dans l’outrance témoigne d’une direction artistique assumée.
Guy Ritchie orchestre cette débauche verbale avec sa maestria habituelle. « Le réalisateur Guy Ritchie adore ça ! », confirme Brosnan, soulignant cette complicité créative qui pousse chaque acteur vers ses limites expressives.
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L’acteur savoure cette métamorphose totale. « J’adore mon personnage. Il est maître de son espace, de sa vie », explique-t-il, révélant comment ce baron du crime lui offre une liberté artistique inédite. Cette appropriation viscérale explique la justesse troublante de son interprétation.
MobLand permet ainsi à Pierce Brosnan d’explorer des territoires interdits, loin de toute complaisance nostalgique. Cette audace créative fascine autant qu’elle déroute.
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