
Les Conditions De Transport En Question : Promesses Non Tenues
Cette mort tragique révèle un fossé béant entre les promesses faites et la réalité vécue par l’animal. Avant le départ, la famille avait multiplié les échanges avec Corsair pour s’assurer des conditions de transport.
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« Quand on a échangé au sujet des conditions de transport, nos interlocuteurs se sont montrés très rassurants sur le fait qu’il aurait de l’eau, qu’il serait au frais », témoigne la propriétaire d’Ewok. Des assurances d’autant plus cruciales que les bouledogues français figurent parmi les races les plus vulnérables en transport aérien.
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Ces chiens brachycéphales sont réputés fragiles et souvent refusés par les compagnies. Corsair elle-même n’accepte ce type de transport qu’en cas de déménagement justifié, contre signature d’une décharge. La compagnie connaît parfaitement les risques.
Pourtant, la découverte macabre contredit toutes les garanties données. « Il n’y avait pas une goutte d’eau dans sa gamelle quand on l’a découvert », dénonce la maîtresse du chien. Plus grave encore selon elle : l’absence totale de climatisation dans l’avion.
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Ces révélations soulèvent des questions cruciales sur le respect des protocoles de sécurité. Comment un animal de race fragile, transporté moyennant des précautions particulières, a-t-il pu mourir dans de telles conditions ? Les engagements pris par la compagnie ont-ils été réellement tenus ?
La famille découvre que les belles promesses n’étaient que des mots vides face à la réalité impitoyable de la soute.
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