Prince George bientôt séparé de ses parents : la règle royale qui va tout changer

Des exceptions qui confirment la règle

Malgré la rigueur apparente de cette tradition, l’histoire récente de la famille royale montre que des exceptions ont parfois été accordées. Le prince William et Kate Middleton ont eux-mêmes enfreint ce protocole à plusieurs reprises, notamment en 2014, lorsqu’ils se sont envolés vers la Nouvelle-Zélande et l’Australie à bord du même avion, accompagnés du prince George, alors âgé de neuf mois.

Ces dérogations n’ont été possibles que grâce à l’autorisation explicite de la reine Elizabeth II, qui avait le pouvoir d’accorder des exceptions à cette règle. Cette flexibilité occasionnelle démontre que la famille royale est capable de s’adapter aux réalités modernes tout en préservant l’essence de ses traditions séculaires.

Le roi Charles III, nouveau gardien du protocole

Depuis le couronnement de Charles III, c’est désormais au nouveau monarque que revient la responsabilité d’accorder ou non ces autorisations spéciales. Le roi Charles III devient ainsi le garant de l’application de cette règle pour ses héritiers directs, y compris son petit-fils, le prince George.

Cette transition du pouvoir décisionnel soulève des questions sur la manière dont le roi Charles III abordera ces demandes d’exception. Adoptera-t-il la même approche que sa mère, la reine Elizabeth II, ou sera-t-il plus strict dans l’application du protocole ? L’avenir nous le dira, mais il est certain que ces décisions auront un impact significatif sur l’organisation des voyages de la famille royale.

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