Une propriétaire immobilière se retrouve confrontée à une situation pour le moins délicate avec ses locataires. Hélène Hariviller, résidant dans les Landes, est propriétaire d’un pavillon situé aux Ageux, non loin du centre commercial du Val d’Halette. Lorsqu’elle a décidé de louer cette maison à une famille, elle était loin de se douter des déboires qui l’attendaient.
Tout a commencé en 2016 lorsque la famille en question a emménagé dans le pavillon. Un état des lieux a été dressé, et les locataires versaient un loyer mensuel de 1200 euros. Cependant, à partir de 2018, les paiements ont cessé, accumulant près de 21 213 euros d’impayés.
Les services sociaux interviennent
Au vu de la situation, les services sociaux de la mairie du Séquestre et du Département ont contacté Paul Rudelle afin de lui proposer un logement social.
Priés de quitter les lieux
Madame Hariviller se voit alors dans l’obligation d’engager une procédure. Résultat, en mai 2019, le contrat de bail va être résilié par décision du tribunal de Beauvais, et les locataires sont sommés de quitter les lieux. Ils sont également condamnés à payer les 20 000 euros d’impayés.
Une propriétaire en colère
Hélène Hariviller vit dans Les Landes, et elle est propriétaire d’un pavillon des Ageux, situé non loin du centre commercial du Val d’Halette. Mais elle ne s’attendait pas du tout à cette mésaventure lorsqu’elle a décidé de louer cette maison à une famille. Et l’histoire qui lui est arrivée avec ses locataires va la plonger dans une grande colère.
Coincée par ses locataires
La propriétaire ulcérée n’est cependant pas au bout de ses peines puisque ses locataires refusent catégoriquement de partir. Et le pire, ces derniers vont lancer une procédure pour faire état de l’insalubrité du logement qu’ils occupent. La maison qu’Hélène Hariviller a louée va faire l’objet de plusieurs arrêtés d’insalubrité, ce qui va même la mettre dans l’obligation, selon la loi, de les reloger en attendant les travaux.
La riposte de la proprio
À partir du moment où les locataires ont lancé une procédure pour faire état de l’insalubrité du logement occupé, le loyer n’est plus dû à compter du premier jour du mois qui suit sa notification, jusqu’à la date de la fin des travaux demandés pour la remise en état. Malgré tout, Hélène Hariviller ne va pas se laisser faire et compte bien riposter.
Des locataires indélicats
Pour obtenir gain de cause, la propriétaire soutient que l’état des lieux était irréprochable au moment de l’entrée dans ledit logement. Et de plus, il se trouve un témoin en sa faveur, un chauffagiste venu en 2019 et qui avait refusé d’intervenir car les locataires auraient bricolé des branchements dans la maison. Et même le voisinage s’est plaint de ces locataires indélicats.